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La correspondante asiate de Marie (4)
Datte: 25/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory
... fesses en pleine rue car il savait qu’elle n’apprécierait pas. Il jugea inutile de déplacer la voiture. L’hôtel de luxe dans lequel il avait réservé une chambre n’était pas très loin. C’était un grand bâtiment en pierre blanche et à l’architecture futuriste, posé à l’angle d’un carrefour entre deux boulevards encore très fréquentés malgré l’heure tardive. Samaryl ne posa aucune question et se laissa guider. Elle était émerveillée par la modernité de l’établissement et par le soin qui avait été apporté à la décoration. En dépit de la spontanéité et de la simplicité de son caractère, elle avait des goûts sophistiqués. Elle s’attardait sur des détails que Jean-Edouard ne remarquait même pas : la forme d’une glace murale ou les teintes subtiles du papier peint. Son compagnon, lui, ne s’intéressait plus qu’à son décolleté, à son cul et à ses jambes divines. Dans son pantalon, sa verge gonflée devenait douloureuse. Dans la chambre, il eut cependant la délicatesse de ne pas se jeter sur sa fiancée comme un chien sur un os. Grand seigneur, il commanda quelques rafraîchissements sans se soucier de la dépense. Il laissa Samaryl contempler Bordeaux by night. L’enlaça par derrière en promenant ses mains sur son corps souple. On frappa à la porte. La femme de chambre déposa les cocktails sur un guéridon prévu à cet effet et souhaita une excellente nuit aux deux amoureux. Jean-Edouard n’avait pas loué une chambre dans un des hôtels les plus réputés de Bordeaux pour profiter de la ...
... vue panoramique ou de l’écran plasma 125 cm qui trônait sur un meuble aux allures de vaisseau spatial. Il glissa ses mains sous la robe de Samaryl puis dans sa petite culotte, un string noir microscopique. Il lui caressa la chatte en l’embrassant dans le cou comme elle aimait. Quand il la sentit prête, il l’entraîna doucement vers le lit, lui enleva sa robe comme on ôte un tee-shirt. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Il l’empêcha de se défaire de ses bijoux et de retirer ses talons car il voulait la baiser telle qu’elle était : ultra désirable. Il commença par la faire asseoir sur le bord du lit, baissa son pantalon, puis son slip, et introduisit sa queue impressionnante entre ses lèvres pleines de rouge. La belle ne protesta pas. Quand il sentit que ses testicules se contractaient, Jean-Edouard se retira, allongea Samaryl sur le dos et s’agenouilla pour la lécher. Son sexe avait une odeur de rose. Sa mouille un goût de soda parfumé à la fleur d’oranger. Le garçon releva la tête : — Tu peux faire du bruit ma chérie. Personne ne va nous entendre. Et quand bien même : tout le monde s’en fiche ! Alors Samaryl se laissa emporter et poussa bientôt des petits cris plaintifs. Enfin, tout son corps se contracta. Elle empoigna les cheveux de son amant et lui écrasa la bouche contre sa chatte tout en la frottant de toutes ses forces contre ses lèvres. Elle eut un orgasme puissant qui la laissa pantelante et les yeux gonflés. Jean-Edouard songea avec émoi qu’en dépit de ses ...