Fuckin' in the rain
Datte: 24/12/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
double,
Auteur: Fwm, Source: Revebebe
... parfaitement raison. Elle reprit la parole :
— Je vais te dire comment je pourrais te faire jouir. Premièrement, je pourrais continuer à frotter mon bas-ventre contre ton sexe. Tu finirais par jouir assez lentement et tu souillerais ton pantalon. Pas génial, comme idée. Deuxièmement, je pourrais dégrafer ton jeans, sortir ton sexe de ton slip et te prendre en moi. Je ferais de tout petits mouvements, ne bougerais que sur la longueur de ton gland. Tu vas jouir, mais il va te manquer de grands coups de boutoir pour te sentir pleinement soulagé. Troisièmement, je pourrais attendre un peu qu’il n’y ait pour ainsi dire plus personne, me mettre à genoux et te sucer. Mais si on se fait surprendre, il n’y aura aucune ambiguïté mon jeu ; ce n’est pas drôle.
Je la laissais continuer à m’exciter en me demandant comment elle allait me faire jouir sous son autorité. Pendant ce temps, son bassin continuait à se frotter sur moi.
— Quatrièmement, je pourrais mettre ma main autour de ta queue, continuer mon petit manège jusqu’à ce que tu jouisses. Mais un moment si chaud devrait se terminer par mieux qu’une branlette.
Je commençais à me poser de sérieuses questions. Il fallait rester discrets, ne pas me sucer ni me branler tout en m’offrant plus qu’une petite éjaculation du bout du gland. Il fallait – je ne voyais pas d’autre solution – abandonner un de ces paramètres pour vraiment finir notre pause en beauté. Je me serais bien satisfait d’à peu près n’importe quelle solution, ...
... pourvu qu’elle me fasse jouir car mon excitation commençait à prendre vraiment de l’ampleur. Et, dans le fond, il ne restait pas tant de monde que ça dans les environs, et les voitures se faisaient vraiment rares…
J’étais dans une solution insoluble quand, soudain, j’ai senti une goutte de pluie. Une deuxième quelques instants plus tard, puis une troisième. Nous n’avions pas prêté attention au vent et encore moins à l’orage qui allait éclater d’ici peu. Nous avons levé ensemble les yeux au ciel ; nous nous sommes regardés et nous avons compris en même temps que quoi qu’il arrive, nous allions jouir dans quelques minutes. Je ne savais pas encore comment nous allions nous satisfaire, mais je savais que faire l’amour sous la pluie était un fantasme de ma belle Émilie.
Nos baisers sont donc devenus sauvages, mes mains audacieuses sous sa jupe et fermes quant aux caresses. On venait de passer au stade supérieur de l’excitation, et bien que nos vêtements séparassent encore nos corps, je risquais de jouir à tout moment. Peu importe, il fallait continuer. Il fallait que je la prenne. Et vite. Elle avait libéré sa poitrine et, ma bouche contre son sein, je sentais bien qu’elle se réchauffait de plus en plus. La pluie battante ne nous aidait pourtant pas. Ma main sur sa hanche gauche, mon autre main sous ses fesses, je venais de la pénétrer avec un doigt. Son orgasme ne serait pas suffisant, mais c’était toujours ça.
Nous étions, il n’y a plus aucun doute, en train de faire ...