1. Fuckin' in the rain


    Datte: 24/12/2020, Catégories: fh, fhh, couple, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, double, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    ... toilette le matin.
    
    Bien sûr, il m’arrivait de la prendre tout simplement ; de la baiser, si vous voulez que je vous parle en toute honnêteté. Elle aimait cela : il n’y avait donc pas de problèmes. C’était toutefois bien nos séances de masturbation en couple qui nous plaisaient le plus à tous les deux. Jusqu’au jour où elle m’a proposé de la rejoindre avec un autre de ses amants afin de la prendre en levrette.
    
    Je t’ai donc raconté ce soir-là. Sa férocité, presque, à nous sucer alternativement. J’adorais la voir le lécher, tout comme j’étais impatient qu’elle lâche l’autre sexe pour le mien. Je t’ai raconté comment nous nous relayions la tête entre ses cuisses ; comment, à tour de rôle, nous la prenions. Ses jambes bien écartées et nos queues bien raides, on ne faisait pas vraiment dans la dentelle. Peu importe ; car – nous le savions – c’est ce qu’elle aimait dans le sexe. Nous n’avons pas tardé à la prendre à deux. Lui allongé sur le dos, elle allongée sur lui et moi dans son cul, nous nous sommes éclatés. La soirée fut longue et le sperme coula à flots, si j’ose dire.
    
    Je l’avais excitée avec cette histoire, je le sais. Je l’ai senti dans ses baisers, dans la façon dont elle a croisé ses jambes sur moi, remontant très haut sa jupe. Quand elle a compris que j’étais en érection, elle s’est simplement installée sur moi, elle aussi à califourchon. Une jambe de chaque côté, son ventre contre le mien, nous ressemblions à deux adolescents en chaleur. J’étais ravi de ...
    ... son attitude, car jamais elle ne se montrait câline en public. Si son bassin n’ondulait pas encore contre le mien, tous ceux qui passaient à côté de nous pouvaient voir nos corps serrés et nos baisers bien peu chastes. De l’autre côté de l’étang, à cinq minutes de marche, les mêmes bancs étaient complètement déserts. Je lui ai bien suggéré de nous y rendre, mais un « pas tout de suite » entrecoupé de sa langue dans ma bouche m’a bien fait comprendre qu’elle aimait cette situation.
    
    J’aimais cela aussi et, mes mains sur ses fesses mais sur sa jupe, j’essayais d’imprimer à son bassin de très légers mouvements d’aller et retour. Irions-nous jusqu’à mimer un acte sexuel en public et en plein jour ? Je commençais à croire que oui.
    
    Bien installée contre moi, les bras autour de mon cou et ses longs cheveux roux rabattus sur nos visages, nous étions coupés du monde. Je crois que c’est pour cela que nous nous sommes laissé aller à amplifier nos gestes. Au bout de quelques minutes de ce jeu érotique, plus excitant que soulageant, j’ai compris que j’avais franchi un point de non-retour. Elle avait gagné. Elle savait, à regarder au fond de mes yeux, qu’il n’y aurait plus qu’une alternative pour moi : jouir dans les plus brefs délais. Son sourire à ce moment-là en disait très long sur le plaisir qu’elle a à exciter un homme, à m’exciter. Un plaisir et une science qu’elle maîtrise à la perfection.
    
    — Alors, comment vas-tu faire maintenant ?
    
    Elle était fière de son coup et avait ...