Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... tiendrez à notre service, puis vous mangerez à l’office.
Bon, j’ai compris, dans l’intimité je suis sa pute. Mais le reste du temps, il me vouvoie, me traite comme une servante normale.
— Venez, nous retournons dans la chambre.
Maintenant qu’il a repris des forces, il va me baiser.
En effet, dès qu’il a franchi la porte, le personnage change. Elle s’avance vers lui et lui ôte sa robe de chambre. Il s’allonge sur le lit et lui dit :
— Montre-moi comment tu sais provoquer le désir.
Elle ne va pas l’embrasser, les putes ne font pas ça. Ses mains lui caressent le corps, descendent vers le sexe encore flasque. Par de petites caresses manuelles, elle commence à l’éveiller. Elle le prend en bouche comme un bonbon et de la langue le fait rouler contre son palais. Rapidement il prend du volume et se retrouve ferme. Elle continue et c’est son maître qui l’arrête.
— C’est très bien. Allonge-toi, je vais te prendre.
Se plaçant au-dessus d’elle il la pénètre et commence le coït. C’est quelqu’un de très compétent et Sandra sent monter en elle un trouble, puis du plaisir. C’est le comble, je suis une pute et je vais jouir. En effet, il la conduit jusqu’à l’orgasme, mais lui n’a pas pris son plaisir. C’est vraiment un type formidable. Il se retire, lui dit :
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te sodomiser.
Oh, merde, ça, je n’aime pas trop. Mais il fallait s’y attendre.
Elle se place dans la position demandée. Elle sent une fraîcheur sur sa rosette, un ...
... doigt glisse en elle une pommade froide. Ah, bon, il est bien quand même. Puis elle perçoit le gland qui se présente et pénètre lentement en elle. Ça va, il est doux. Bien enfoncé, il attend quelques secondes puis se met en mouvement. Une main lui saisit un sein, l’autre lui gratte le clitoris. Après quelques minutes de va-et-vient, il se vide en elle.
Je n’ai pas eu de plaisir, mais ce n’était pas désagréable, c’est la première fois qu’un client m’encule aussi bien. Il est retombé à côté d’elle et lui a dit d’un ton gentil :
— Tu es une très bonne fille. Tu me conviens parfaitement et je crois que mes amis aussi apprécieront tes services. Je vais te montrer ta chambre, demain tu te lèveras à six heures et demie, tu m’apporteras le café. Désormais tu me diras simplement « Monsieur ». Viens, suis-moi.
Il l’a conduite à l’étage supérieur, dans une petite pièce bien aménagée avec même une douche.
Le lendemain elle lui a porté le café au lit. Il lui a donné une robe noire, très courte et très décolletée, permettant d’apprécier ses charmes.
Les amis sont arrivés vers neuf heures. Deux hommes dans le même genre que le propriétaire des lieux, d’un âge approchant, même type de vêtements. Une heure après, la sonnette a retenti dans la cuisine. Elle se rend auprès de monsieur.
Les trois hommes sont assis dans un salon, en train de bavarder.
— Laissez-moi vous présenter Sandra. Elle est très compétente, j’ai pu apprécier ses services. Sandra nous allons prendre ...