Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... le matelas était souple et la couette très chaude.
— Voilà, je me lève, lui a-t-elle dit.
— Vous pouvez aller dans la salle de bain, vous y trouverez vos habits secs.
Elle a trouvé sur la table de la cuisine tout un assortiment d’aliments qui lui a permis de composer le menu de son choix. À l’heure prévue, elle est prête.
— Nous allons y aller, il me faut être à l’heure au travail. Où désirez-vous que je vous dépose ?
— Au village, si ça ne vous dérange pas.
— Je dois le traverser, je vous y laisserai.
Il a ouvert la porte, l’invitant à sortir. Le temps est gris, il bruine. La voiture n’est pas encore là, juste un tracteur.
Après avoir fermé, il s’est dirigé vers l’engin.
— Si vous voulez monter, attention il y a un marchepied.
Stupéfaite, elle a obéit s’apprêtant à s’asseoir sur une caisse ou quelque chose d’approchant. Surprise, deux fauteuils, une cabine chaude. Elle a tout juste entendu le moteur démarrer. Un vrai véhicule de luxe.
Sur la route, le tracteur a rapidement atteint soixante kilomètres heure et s’est stabilisé à cette allure. À un moment, deux coups brefs d’avertisseur, probablement quelqu’un qui veut doubler. Mais non, le conducteur répond par le même signal et agite son bras par-dessus sa tête.
— Si vous voulez, vous pouvez prendre le bus. Il passe à sept heures vingt et ramasse les collégiens.
— Bien, je vous remercie.
Le plus emmerdant, c’est que je n’ai pas un rond et un talon cassé. Mais je tâcherai de me ...
... débrouiller.
L’engin s’est arrêté devant l’arrêt du car, abrité par un toit transparent. La bruine s’est transformée en pluie. Heureusement je serai toujours à l’abri. Elle a ouvert la porte, lui a tendu la main pour le remercier et lui dire au revoir. Elle a senti qu’il lui glissait un papier. À peine est-elle en bas, qu’il est reparti. Elle a regardé ce qu’il lui avait remis : un billet de vingt euros. C’est une chance, car elle ne sait pas comment elle aurait fait. Taciturne peut-être, mais drôlement psychologue, gentil et surtout beau gars, un chic type.
Le bus l’a laissée assez loin de l’appartement d’Eddy. En claudiquant, Sandra a mis un long moment pour arriver. Durant le parcours, elle a réfléchi, elle est coincée. Il lui faut faire la pute, pas d’autre solution. Timidement, elle a frappé à la porte.
— Te voilà enfin, tu as pris ton temps. Bien, alors tu es décidée ? Demain soir je te conduis chez le type. Pendant une semaine il va chasser dans sa propriété avec deux amis. Tu seras à son service et tu lui obéiras. Il ne t’emmerdera pas beaucoup, à son âge on n’a pas beaucoup de ressort. J’ai une dette envers lui, il m’a aidé, comporte-toi bien.
— Bien, je le ferai, mais je te préviens, je ne veux pas qu’il me maltraite.
— Non, tu peux être tranquille.
Il lui a demandé où elle avait passé la nuit. Elle lui a tout raconté, lui a indiqué le merveilleux accueil qu’elle avait reçu.
Le lendemain soir, vers six heures, ils sont partis. Arrivés devant une grande propriété ...