1. Police polissonne (56)


    Datte: 23/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Les deux amoureux, encore tout émoustillés par leur rapide étreinte, qui au regret de Marc s’est terminée trop vite, se dirigent main dans la main vers la boîte de nuit. Sonia reste encore tout émue de cet événement qui l’a mise dans tous ses états, vient de comprendre que la vie est en train de lui faire le plus beau cadeau qu’elle n’a encore jamais eu. Marc vient de lui déclarer sa flamme, déclaration qui avec l’aide de Cupidon, a transpercé son cœur. Son sang transformé en poudre magique transporte une multitude d’étoiles qui viennent lui remplir les yeux ; elle découvre une nouvelle sensation : le bonheur.
    
    La distance qui les sépare du but de leur mission diminue à chaque pas. Sonia, qui pour avoir pratiqué par le passé cet établissement connaît parfaitement les lieux et l’ambiance qui y règne ; elle sait que c’est un véritable repère de malfrats sans foi ni loi. Elle sait aussi qu’elle peut y trouver ce qu’elle recherche, mais pour plus de discrétion et d’efficacité dans cette mission, elle pense qu’il faudrait, au détriment de sa propre sécurité, qu’elle y aille seule ; elle en informe Marc :
    
    — Marc, je pense que pour avoir un maximum de chance de trouver ce qu’on cherche, il serait mieux que j’y aille seule et à ce moment-là tu pourrais planquer dans ta voiture à proximité de l’entrée et photographier tout ce qui entre et sort. Demain je regarderai les photos pour essayer d’identifier les personnes, parce que si rien n’a changé, je peux te garantir qu’il y a du ...
    ... beau monde là-dedans.
    
    — Tu as raison, je vais rapprocher discrètement la voiture à proximité et planquer ; mais fait attention à toi.
    
    — Ne t’inquiète pas, ici je ne risque rien ; juste de me faire sauter, c’est tout. Je suis désolée pour le "sauter".
    
    — Je sais, et puis tu fais ce que tu veux avec ton corps, je sais que tu aimes le sexe autant que moi et je ne t’empêcherai jamais de t’amuser. Disons que ce pourrait être une sorte de pacte entre nous.
    
    — Eh bien, je suis surprise par ton ouverture d’esprit, moi qui pensais qu’une fois (casée) je serais tenue à la fidélité ; tu me vois ravie de cette nouvelle.
    
    — Disons que tant que cette enquête n’est pas résolue, nous pourrions considérer que cette façon de faire est plutôt normale ; après nous en reparlerons.
    
    — Pourquoi après ? Tu as déjà des intentions de changement de situation.
    
    — Pourquoi, pas toi ; tu n’as pas un rêve ou quelque chose qui te passionne et que tu voudrais réaliser ?
    
    — Si, comme tout le monde ; disons qu’on en reparlera quand le Boss sera sous les verrous.
    
    — Et tu ne veux pas m’en dire un peu ?
    
    — Si ça te fait plaisir, mai je te préviens ; c’est peu space.
    
    — Ah oui ? Alors raconte.
    
    — Eh bien depuis que j’ai mon appartement et la terrasse je me suis prise de passion pour la nature, j’aime les fleurs, les plantes, les animaux et tout ce qui touche à la nature et au bien-être ; je rêve d’une vie où je pourrais vivre nue tout le temps, me promener en forêt, sentir la végétation ...
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