1. Florence


    Datte: 23/12/2020, Catégories: ff, jeunes, copains, grosseins, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral nopéné, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... supplier d’arrêter… de continuer. Elle a recommencé à presser mes lèvres sur ses seins en gémissant d’une façon que je trouvais adorable.
    
    Et puis ma bouche a continué son chemin. Son ventre frissonnait sous mes baisers, et tressautait sous mes coups de langue. J’ai soigneusement contourné son sexe. Son heure n’était pas encore venue. Mes baisers et mes léchouilles ont entrepris de descendre le long de ses jambes en commençant par l’intérieur de ses cuisses, tout près de son sexe, dont les effluves chatouillaient mes narines. Son "odor di femina" m’a fait regretter d’avoir pris la décision de la faire "mourir" d’impatience et de désirs. Mais, j’ai continué d’explorer ses jambes.
    
    Savez-vous que l’intérieur des genoux est une partie très sensible de l’anatomie féminine - et probablement masculine, aussi - ? En tout cas, ma Jen, elle, a adoré sentir mes lèvres et mes coups de langues s’en occuper. Elle a rué, pleurniché, m’a suppliée d’arrêter, de continuer. Elle s’agitait en tout sens.
    
    Enfin, je suis arrivée à ses pieds. J’en ai pris un dans chacune de mes mains. Tout de suite, j’ai entendu :
    
    — Non, pas mes pieds… chuis trop chatouilleuse, m’a-t-elle suppliée, une pointe de crainte dans le regard.
    — T’inquiète… si j’veux pas te chatouiller, tu n’en sentiras aucune… de chatouilles, l’ai-je rassurée.
    
    J’étais si sûre de moi qu’elle a semblé se rendre à mon assurance, bien qu’une infime peur ne quitte pas son visage. Elle m’a souri quand j’ai posé la plante de ses ...
    ... pieds sur mes doudounes. Je me tenais agenouillée, les jambes écartées encadrant son cul, et je malaxais mes seins en me servant de ses pieds. Quand j’ai fait monter les orteils de son pied droit à quelques centimètres de ma bouche, elle s’est écriée :
    
    — Non… ne fais pas ça !
    
    J’ai senti mon regard devenir pervers : j’en avais trop envie, alors elle pouvait me supplier si elle le voulait… J’ai fait monter, avec une lenteur exaspérante, l’objet de ma convoitise jusqu’à ma bouche entrouverte, sans la quitter des yeux. Son corps a semblé se tétaniser, dans la crainte de ce qui allait suivre, et quand j’ai embouché trois de ses orteils, dont le gros, elle a eu une réaction pour le moins… démesurée : sa bouche a commencé par s’ouvrir sur un cri muet, puis elle l’a refermée en serrant les dents. Ses yeux exorbités l’instant d’avant se sont fermés violemment, tandis qu’elle se mettait à hurler en empoignant les draps. J’ai dû arrêter presque immédiatement : ses hurlements allaient réveiller tout l’immeuble… toute la ville !
    
    — Non… Hhh… continue…
    — Quoi… j’arrête ou je continue ?
    — Ooh… encooore !
    — D’accord… mais tu crieras moins fort ?
    — J’pourrais pas m’en empêcher… fais-le… tue-moi mon amour… tue-moi !
    — Et si j’fais ça, c’est comment ?
    
    J’ai fait courir ma langue sur la pulpe de ses orteils, et elle a crié, moins fort que quand je les ai sucés, mais elle a crié quand même. Elle pleurnichait et souriait. Mais, ce n’était pas ça que je voulais faire, alors tant pis, ...