Florence
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
grosseins,
parking,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
nopéné,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... bouquin. De délicieux frissons parcouraient mon corps, me poussaient à geindre, presque à pleurer… de joie. Ses mains étaient passées sous l’élastique de mon caleçon, me caressaient les fesses à même la peau. Elle s’énervait à ne pouvoir les balader à son aise.
— Putain, mais aide-moi…
Son impatience était très flatteuse pour moi, mais je pensais, en même temps que je n’allais sûrement pas me sauver, alors j’ai tenté de tempérer sa fougue :
— Jenny… ma Jen adorée, va doucement… on a le temps.
Elle a paru recevoir un choc… comme si elle sortait d’un rêve, ou d’une transe. Ses mains se sont immobilisées et elle a cessé de lécher mes seins, puis son regard est monté jusqu’à mes yeux. Jamais elle ne m’avait regardée ainsi, auparavant : un mélange d’amour, de folie, de curiosité. J’ai caressé ses joues en lui souriant tendrement.
— Mon amour, tu veux bien être tendre avec moi… Moi, j’ai besoin que tu soies douce.
— D’accord… pardon, m’a-t-elle répondu, d’une voix de petite fille.
Elle a semblé se changer en une autre personne, dans l’instant. Je l’avais déjà vue se comporter en femme sûre d’elle, montrant que ce serait elle qui "porterait la culotte", dans son futur ménage. Mais, tout à coup, j’avais devant mes yeux, ébahis et charmés, une Jennifer que je n’avais jamais vue : quelqu’un qui s’en remettait totalement… et timidement à moi.
Je me suis mise à genoux à côté d’elle, et lui ai demandé :
— Aide-moi à retirer mon caleçon.
Je la surplombais et ...
... elle ne quittait pas mes yeux de son regard. J’adorais sa façon de me regarder, jamais je ne l’avais vue regarder quelqu’un d’autre comme ça. Elle a semblé tomber sous le charme de ma toison, passant sa langue, doucement, sur ses lèvres, comme pour la déguster à l’avance. Elle était toujours allongée sur mon lit, mais ne devait pas être très à l’aise, pour faire glisser mon caleçon. Alors, elle s’est mise à genoux aussi, en face de moi, presque à me toucher, et quand j’ai senti une de ses mains se poser sur le creux de mon dos, au-dessus de ma chute de reins, je n’ai pas pu empêcher mon corps de se plaquer au sien. Ses mains sont descendues, en une caresse exaspérante de lenteur, entraînant le vêtement vers le bas de mes cuisses. Un adorable frisson était remonté, tout le long de ma colonne vertébrale jusqu’au creux de ma nuque, au moment où ses doigts ont effleuré la raie de mon cul en descendant, me faisant exhaler un long soupir de bien-être.
— Tu sais que j’en ai rêvé, de ton cul, bien plus que de tes gros seins…
— Non… j’savais pas…
— Dis-moi… comment on peut avoir un cul cambré à ce point… Tu dois le faire exprès, espèce de fille-sans-pudeur !
— Fille-sans-pudeur toi-même… c’est quand même pas moi qui me balade à poil à travers tout l’appartement !
— Ouais, peut-être… mais moi, j’ai pas un cul impudique comme le tien… On a constamment envie d’y fourrer les mains… quand c’est pas autre chose !
— C’est vrai… c’est ce que tu avais envie de faire ?
— Ouais… enfin, ...