1. Au lac


    Datte: 28/04/2018, Catégories: ffh, inconnu, bain, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral nopéné, confession, occasion, Auteur: Aiefilgoud, Source: Revebebe

    ... d’une sucette.
    
    Ma queue durcit encore quand je sentis le doigt de Manon s’enfoncer dans mon cul. Elle me caressait la fente, puis est entrée doucement, et a ensuite elle aussi joué au va-et-vient sur le même rythme que sa compagne. Comme si c’était calculé, Flo a avalé ma bite jusqu’au fond de sa gorge au moment même où Manon m’enculait au plus profond. La bouche et le doigt se sont retirés au même moment. Les femmes se sont écartées de moi, et sont venues se placer en face, se tenant par la taille. Je fus surpris, mais mon excitation était à son comble.
    
    — Masturbe-toi ! ordonna Manon.
    — Notre plaisir, c’est de voir un homme à poil se branler, et le sperme qui gicle en l’air, précisa Flo.
    
    Une aubaine ! Mon éducation m’interdisait de pénétrer une autre femme que la mienne, et mon plaisir était de jouir en regardant des femmes se caresser, seules ou mutuellement.
    
    — D’accord, mais vous vous branlez en même temps !
    — Ben qu’est-ce que tu crois ! On va se gêner !
    
    Je pris donc mon sexe bandé dans la main droite, me caressant les seins de la gauche. Le spectacle que je voyais n’était pas pour me calmer : Flo avait posé ses deux mains de chaque côté de sa chatte, et s’ouvrait la fente au maximum. Ses deux index enserraient le clito qui était bien visible. Manon avait posé une main à plat sur son sexe, se masturbant de façon plus classique. Avec quand même l’autre main qui, passée ...
    ... derrière, me laissait croire qu’elle s’était mis un majeur dans l’anus. Les quatre yeux étaient très concentrés sur mes gestes.
    
    Mes vacances étant jusque là sans aucune activité à caractère sexuel, hormis une ou deux caresses de Clara sur ma queue avant de s’endormir, je savais que je ne tiendrais pas longtemps. De fait, après une petite variante où j’attrapais mon sexe entre mes deux mains à plat, le faisant rouler comme un trappeur qui essayerait de faire du feu avec un bout de bois, je repris la chose à pleine main pour conclure. Je savais qu’en serrant au maximum les doigts autour du gland au moment de l’éjaculation, le jet serait plus impressionnant en relâchant la pression. Effectivement, en deux ou trois saccades, j’envoyais un joli bouquet final qui m’a valu les applaudissements des spectatrices.
    
    Sans un mot, je me rinçai la queue au bord du lac, l’essuyai, et me rhabillai. Ramassant mon appareil, je quittai les lieux, avec un simple :
    
    — Merci, bonne journée !
    — Salut ! entendis-je en deux échos.
    
    Quand je fus suffisamment éloigné de la tente, je pris une vue générale du lac. La canadienne était dans le champ, mais pas ses occupantes. Histoire d’enregistrer un souvenir qui me permettrait de fantasmer pour quinze hivers.
    
    De retour au gîte, je transférai les prises de vue sur l’ordinateur, me dépêchant d’examiner la dernière photo.
    
    Aucune tente n’y apparaissait.
    
    I feel good. 
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