1. Il m'appelait "Charlotte"


    Datte: 22/12/2020, Catégories: fh, Auteur: J. Deaux, Source: Revebebe

    ... pourtant rien d’exceptionnel en soi, mais rien que le sentir en moi me ferait presque jouir de nouveau. À quoi cela peut-il être dû ? En fait, j’ai bien ma petite idée, mais chut ! Ne pensons pas à ce genre de choses maintenant.
    
    Nos baisers ne s’arrêtent pas, tout comme ses coups de reins. Mes jambes autour de sa taille, je l’accompagne, pars à sa rencontre, je veux le sentir le plus profondément possible, que nos bas s’épousent sans lieux sombres comme le dirait Louise Attaque. La cadence s’accélère, il me prend mes mains dans les siennes et m’allonge sur mon lit. Sa bouche sur mes seins, son sexe dans mon sexe, ses mains qui serrent les miennes, le son de nos gémissements, je perds pied et jouis de nouveau.
    
    Comme s’il n’avait attendu que ça, il jouit à son tour, je peux sentir les pulsations de sa verge accompagner mes spasmes. Mon orgasme me semble encore meilleur, plus fort.
    
    Il se retire, m’embrasse de nouveau et avec le sourire qui semble ne plus le quitter, me prend dans ses bras pour me porter au milieu du lit. Et c’est dans ses bras que je trouve le sommeil, si reposant, si doux sommeil.
    
    C’est le bruit de l’ouverture de la porte de la douche qui me réveille. Il sort quelques secondes plus tard, juste vêtu d’une serviette autour de sa taille. À sa tête, je vois qu’il va bientôt devoir partir. Mais il y a une chose qui me manque, quelque chose que je ne peux pas ne pas faire.
    
    Je me lève et viens l’embrasser, collant mon corps nu contre le sien.
    
    — ...
    ... Assieds-toi, s’il te plait, cette fois c’est à toi de te laisser faire.
    
    Disparue la serviette, je l’ai envoyée à l’autre bout de la pièce. Inutile la serviette, elle n’aurait fait que me gêner.
    
    À mon tour de rester avec mon sourire.
    
    À ses pieds, je caresse ses cuisses et mordille ses épaules. Pas de doigt joueur, pas de temps à le faire languir. C’est un plaisir égoïste, ma manière à moi de le posséder quelques instants.
    
    Mes seins viennent caresser son sexe, je les resserre autour et effectue un très lent va-et-vient. C’est fou comme cette partie de l’anatomie masculine peut être douce au toucher. Ma main va, s’empare de sa verge et ma tête se penche vers elle. Du bout de ma langue je taquine son gland, tantôt en lui donnant des petites léchouilles, tantôt en décrivant des cercles autour. Puis c’est le long de sa hampe qu’elle glisse jusqu’à arriver au niveau de ses bourses que j’embrasse timidement. Il est penché en arrière, la bouche entrouverte, les yeux fermés. C’est un peu dommage, j’aurais aimé pouvoir plonger mon regard dans le sien pendant que je l’avalais… Tant pis.
    
    De retour vers le gland, je le prends en bouche et entame un va-et-vient de plus en plus profond et bientôt c’est quasiment l’ensemble de sa verge qui coulisse dans ma gorge. Il émet maintenant des gémissements graves, une de ses mains posée sur ma nuque, imprimant des fois son propre rythme. J’embrasse, suce, aspire, essayant de lui donner le plus de plaisir possible, je veux qu’il jouisse ...