1. Séjour fantastique (5)


    Datte: 21/12/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: Velshaëlle, Source: Xstory

    ... excitation.
    
    Je me montre alors plus entreprenante. Je la lèche avec application, alternant les coups de langue rapides et plus lents, mais plus appuyés. J’écarte ses lèvres avec ma langue, avant d’enfoncer celle-ci autant que possible dans sa petite chatte. Le résultat ne se fait pas attendre. Très vite, en effet, j’ai la satisfaction de sentir qu’elle mouille. Submergée par le plaisir, je me laisse aller, n’hésitant plus, maintenant, à prendre ses lèvres dans ma bouche, à faire tourner le bout de ma langue dessus, à les lécher consciencieusement, à les mordiller doucement. J’ignore si ce traitement procure un quelconque plaisir à ma sœur mais, en ce qui me concerne, mon entrejambe est maintenant bien humide.
    
    N’y tenant plus, je pose mes mains sur ses fesses fermes et musclées, je les caresse et les malaxe. Mais une douleur aussi vive que subite me sort de mon état d’excitation lorsque, sans prévenir, Stéphanie me tire les cheveux vers le haut, me forçant à me mettre debout.
    
    — Sale chienne lubrique et dénuée de toute morale ! m’assène-t-elle avec un sourire étrange.
    
    Mon indécence, ma perversion, semble en réalité la ravir. Moi, au contraire, je me sens soudain envahie par un sentiment de honte et de culpabilité. Tandis que je commence à regretter ce que je viens de faire, Stéphanie saisit le col de mon débardeur et tire dessus d’un coup sec.
    
    Je suis entraînée en avant par ce geste brutal et violent. Les bretelles de mon débardeur ne résistent pas à une telle ...
    ... force et cèdent, dévoilant ainsi ma poitrine à ma sœur.
    
    Une lueur d’envie s’allume au fond des yeux de Stéphanie lorsque son regard se pose sur mes seins. Toute lucidité semble l’avoir quittée. J’ai l’impression qu’elle est devenue complètement folle. Effrayée, je ne bouge pas.
    
    Alors, elle lâche enfin mes cheveux, après quoi ses mains se referment sur mes seins. Elle les presse fermement et douloureusement, les presse l’un contre l’autre, les écrase sous ses doigts.
    
    — Tu me fais mal, gémis-je faiblement en n’osant pas, toutefois, faire le moindre geste pour l’arrêter.
    
    — Tais-toi ! ordonne-t-elle de cette voix rauque qui maintenant me fait réellement peur.
    
    Elle lâche cependant mon sein gauche, mais ne s’en désintéresse pas pour autant. En effet, une seconde après, elle lui assène une énorme claque qui m’arrache un cri de douleur. Puis, dans la foulée, elle m’attrape à nouveau par les cheveux, me fait me retourner, et me pousse vers le canapé. Une nouvelle poussée, plus brutale, et mes jambes viennent durement cogner l’accoudoir du long sofa. Je perds l’équilibre et tombe en avant. Stéphanie, avec une force dont je ne la soupçonnais pas, maintient ma tête contre le fauteuil, tandis que mon ventre est douloureusement pressé sur le dessus de l’accoudoir. Je pousse avec mes pieds pour tenter de me dégager, je me balance d’un côté et de l’autre, mais rien n’y fait. Avec une poigne de fer, Stéphanie m’oblige à garder cette position inconfortable.
    
    Soudain, elle me ...
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