CINE FOLIE 4
Datte: 20/12/2020,
Catégories:
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Hardcore,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... sens un peu agité. Ça me rassure un peu.
Mais soudain.
« Hummm ! »
Surprise, je me tourne vers lui.
Il a son sexe à la main et se masturbe doucement. Mon cœur fait un bon et je noie rapidement mon regard dans l’écran.
Son petit cri de satisfaction n’a pas été discret du tout, et j’ai vu deux autres se retourner, un court instant, vers nous.
Il m’a annoncé la couleur. Moi qui le croyais sage, c’est raté
Son genou vient frôler le mien. Puis son auriculaire me touche. Je retrouve toute la technique d’approche qu’avait subit Lily il y a trois semaines. Pour la première fois, j’arrive à comprendre ce qu’elle avait pu ressentir.
Dès la touchette du genou, j’ai été prise d’un grand frisson. Une peur étrange s’est emparée de moi. Ho ! Pas une grande peur, non ! Une toute petite, insidieuse. Une de celle qui vous casse les pattes.
Je me sens molle. Incapable de bouger. Mais pourtant, je me sens excitée avec le feu au ventre.
Toutefois, je serais bien incapable de faire comme mon amie et écarter les jambes.
Je reste inerte, neutre, passive.
Mon imperméable est long. Il caresse mon genou par-dessus ce dernier. Puis ma cuisse.
Moi accrochée aux accoudoirs, je fixe l’écran sans bouger. J’ai peur et pourtant je sens mon sexe humide et bouillant.
Il redescend sa main jusqu’au dernier de mes boutons. Il le défait. Puis un autre, et encore un. Il aide un pan à glisser sur le coté, pour dévoiler une de mes cuisses à son regard.
« Hummmm ! ...
... »
Celui-ci était encore moins discret que le précédent et là, ce sont quatre personnes intriguées qui se retournent. Si il continu ainsi, c’est toute la salle qui va se retourner.
Sa main touche ma peau pour la toute première fois. Elle est douce et chaude. Le pauvre doit avoir la fièvre et le cœur qui bat fort, tout comme le mien d’ailleurs.
Il serre mon genou entre ses doigts, et le caresse avec son pouce. Puis, avec beaucoup de douceur, il tente d’écarter mes jambes en plaçant son pied derrière le mien et en essayant de l’amener vers lui. Je résiste. Il retente encore, une fois, deux fois et je fini par céder à la demande. Je m’ouvre, pas trop, juste ce qu’il faut.
Il plonge sa main sur l’intérieur de ma cuisse. Là ou la viande est plus chaude, là ou elle commence à être plus moite.
Ma respiration se fait plus rapide.
« Tu n’a rien là-dessous ! »
Sa phrase me glace le sang.
« Et le reste, y a rien non plus ? »
Alliant le geste à la parole, il me prend un sein à pleine main au travers de mon imper. Il me caresse fort. Il le malaxe, l’écrase entre ses doigts à m’en faire presque mal.
Je le sens surexcité.
« Mais non ! Il n’y a rien non plus ! T’es une bonne cochonne ! J’ai de la chance ! Pas vrai ? »
Je suis scotchée à mon siège, paralysée et bien sur je ne réponds pas.
« Tu veux...u...i…r...? »
Je n’ai pas entendu ce qu’il vient de me dire et machinalement…
« Pardon ? »
« Tu veux jouir ? »
Et moi, pauvre idiote que je suis, je laisse ...