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CINE FOLIE 4
Datte: 20/12/2020, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme Hardcore, Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... respire un grand coup. « Bah… j’y suis retournée. » « Où ça ? » « Bah…là bas, quoi. » « Là bas, là bas. C’est où là bas ? » Mais soudain, je vois un éclair dans ses yeux. Elle vient de comprendre. « Nonnnn ! Tu n’es pas retournée là bas ? Hein ? Tu n’as pas fait ça ? » « Et pourquoi pas ? » « Mais c’est des coups à te faire…, merde ! » « Non ! Ils ont été très gentils. » « Ils ? » « Ben oui. » « Mais c’est quoi, ils ? » « Tu vois, je savais que tu n’aimerais pas. » Elle semble folle de rage et hurle. « C’EST QUOI, ILS ? » Elle m’énerve à crier ainsi. Encore un peu tendu par ce que je viens de vivre, je craque et balance tout. « Cesse d’hurler ! ILS, ce sont les types, tous les types de ce ciné ! Tous les spectateurs ! Voilà ! » « Mais non, tu déconnes ! Tu me fais marcher ? Hein ? C’est ça ? » « C’est ce que tu crois ? Vraiment ? » Fébrile je déboutonne mon imperméable et défais la ceinture. « Tiens ! Regarde si je déconne ! » Je l’ouvre doucement. Il y a des petits bruits. Comme si on décollait des feuilles adhésives. De ...
... longs filets gluants relient mon vêtement à ma peau. Mes orifices se vident encore un peu sur mes cuisses serrées. Lily porte sa main à sa bouche. « Mon dieu ! Qu’as-tu fais là-bas? Tu es folle ? » « Pourquoi ? Tu crois avoir le monopole du plaisir ? Tu penses être la seule à pouvoir faire la salope ? À avoir des envies ? Des désirs ? » « Mais Aurélie ! Moi ce n’est pas pareil ! » « Ha bon ? Et en quel honneur ? » « Mais, Aurélie ? Moi ce n’était pas vrai ! C’était pour de faux ! » « Bah voyons ! J’ai rêvé de tes jambes nues, ta chatte à l’air. J’ai imaginé te voir écarter les cuisses à ce mec ! » « Aurélie ! Ma pauvre Aurélie ! Mais je déconnais ! » Il me faudra une semaine pour me remettre de cette après midi particulière. J’ai relativisé. Si Marion n’avait pas voulu me faire un faux plan sexe, je n’aurais jamais vécu cette expérience. Ce que j’ai ressenti ce jour-là, les jouissances indescriptibles que l’on m’a offert, je ne le retrouverai sans doute plus jamais. Mais, sur l’étagère près de ma machine à laver, reste un petit paquet de cartes de visite.