L'université : de la soumission à la consécration (6)
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: donico, Source: Xstory
... chaude. Très chaude. Elle commence donc à se frotter à moi, à caresser ma queue avec ses fesses à travers mon pantalon...
— Allé les amoureux, on en veut plus ! Nous encourage Paul.
Je suis follement excité par ce que vient de me faire ma sœur, c’est pourquoi je joue le jeu. Totalement inconscient de mes actes, je glisse une de mes mains dans son décolleté, j’attrape un de ses seins, tandis que de l’autre main je passe sous sa jupe et commence à lui caresser la chatte. Elle est trempée.
La foule s’échauffe, crie, applaudit, manifeste son approbation de toutes les manières possibles et imaginables. Je vois même plusieurs couples commencer à se caresser.
— Ouh, ça devient chaud ! Commente Paul. Allé champion, montre-nous un peu ta copine !
C’est à croire que je suis devenu une autre personne à force de subir la « torture » des « agressions sexuelles » répétées, non suivies d’une salvatrice libération, car je m’exécute. Je tire un peu sur le haut de Camille pour révéler ses seins, puis je soulève sa jupe. Nul dans la foule ne peut rien ignorer des attributs de ma copine.
J’aperçois alors Léna au milieu de la horde qui nous entoure, et elle me fait non de la tête, comme si j’étais en train de commettre une erreur. Mais quelle erreur pourrais-je bien commettre ? Je suis follement excité, et dans ce contexte m’exhiber ne me dérange pas, et exhiber Camille encore moins.
"Vous la voyez ma copine ? Vous la voulez ? Et bah elle est à moi !"
En fait je suis ...
... tellement chaud que, loin de me faire peur, me donner ainsi en spectacle m’excite grandement. J’ai tellement envie de me vider les couilles que je pourrais baiser Camille devant tout le monde !
"La baiser devant tout le monde"
Je comprends trop tard toute la sournoiserie et la duplicité du plan de ma sœur. Oh non, ce n’était pas indigne d’elle, c’était même son chef d’œuvre !
Avant que je puisse réunir mes pensées pour réagir, Camille me pousse sur le canapé. Je tente de me relever, mais elle est déjà accroupie devant moi, en train de me retirer mon pantalon.
— Baise-là ! Baise-là ! Baise-là ! Scande la foule, chauffée à blanc.
Comment pourrais-je me défiler maintenant ? Sauf que ma sœur vient de m’amener au point de rupture. Dans ces conditions, je ne pourrais pas tenir plus de quelques secondes en faisant l’amour. De quoi j’aurais l’air ?
Mais Camille ne me laisse pas réfléchir davantage : à peine ma bite dressée a-t-elle émergé que déjà elle m’enjambe pour venir s’empaler dessus.
— Ça y est mes amis, s’exclame Paul, ils vont baiser !
La foule hurle son approbation.
Je vois les magnifiques cuisses douces et fines de ma copine se rapprocher des miennes, puis son petit minou qui s’apprête à engloutir ma queue. Sa chatte est fraîchement épilée, lisse comme celle d’une enfant. Comme Léna, comme Anna... Comme je les aime...
Soudain, son vagin trempé entre en contact avec mon sexe. Ses lèvres s’entrouvrent, coulissent doucement le long de mon gland, ...