1. L'université : de la soumission à la consécration (6)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: donico, Source: Xstory

    Le soir même, une dernière soirée est organisée par la Fraternité avant que les étudiants ne se dispersent chez eux pour le week-end. Comme tous les nouveaux sont désormais informés de ce que l’on attend d’eux, la soirée promet d’être plus chaude que jamais, ce que Léna ne cesse de me répéter avec envie toute la journée.
    
    C’est donc avec difficulté que je suis les interminables cours qu’on nous impose (quelle idée de donner des cours dans une université, il y a tellement mieux à faire !!), mais ma marraine vient me chercher juste à la sortie du dernier.
    
    — Salut Justin ! Me lance-t-elle à l’instant même où je franchis la porte. Comment vas-tu ?
    
    — Quelle question ! Je suis surexcité par la soirée de ce soir.
    
    A mon grand étonnement, son sourire s’assombrit quelque peu. Connaissant son indéfectible optimisme (surtout en ce qui concerne le sexe), ça ne présage rien de bon.
    
    — Justement, je voulais t’en parler, me dit-elle. Je ne sais pas trop ce qui est prévu pour les nouveaux durant cette soirée, mais je voudrais que tu sois très prudent.
    
    — Prudent ?
    
    La formulation m’étonne.
    
    — Oui, j’ai entendu Jules et ta sœur en parler, et j’ai peur qu’ils aient encore des projets pour toi. Ils ont dit qu’ils arrêteraient de t’embêter avec Camille, et que ce soir ce serait toi qui l’aurais.
    
    — C’est plutôt pas mal !
    
    — Oui, mais leur ton ne m’a pas du tout rassuré. Je me demande s’il n’y a pas anguille sous roche, alors méfie-toi. Je les connais !
    
    — C’est gentil ...
    ... Léna.
    
    Je suis très sincèrement ravi de l’avoir pour marraine. Pas uniquement parce qu’elle est très bonne et me laisse parfois partiellement profiter de son corps, mais surtout parce qu’elle est vraiment gentille et me donne sincèrement l’impression d’être de mon côté. Ce qui, vu la situation, n’est pas à négliger !
    
    Elle me répond par un sourire puis m’attire un peu à l’écart, là où la cohue des étudiants se disperse.
    
    — T’as une minute, lâche-t-elle simplement.
    
    Il ne m’en faut pas plus, je sais maintenant exactement ce que ça veut dire. Je lui attrape aussitôt un nichon, que je presse dans ma main, puis je déboutonne rapidement sa chemise jusqu’au nombril. Je lui malaxe les seins sans tendresse, tandis que de mon autre main je fouille déjà dans sa culotte. Je lui insère un doigt, à sec, sans me soucier de son plaisir.
    
    — Doucement ! Me dit-elle.
    
    — Ta gueule ! Pendant une minute t’es à moi.
    
    Elle ne répond rien, se laisse faire. Qu’est-ce que je disais : j’adore ma marraine !
    
    Malheureusement, encore une fois, la minute est beaucoup trop vite écoulée. Ce n’est qu’une fois qu’elle me le fait remarquer et se retire hors de mon étreinte que je constate que je lui ai sauté dessus dans le couloir. Moins fréquenté que le précédent, certes, mais quelques étudiants sont tout de même passés devant en nous jetant des regards étranges !
    
    Qu’importe, je n’en peux plus de cette attente. Parce qu’après tout ce qui s’est passé, je n’ai toujours pas pu me vider, moi ! (Si ...
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