1. Dix femmes... dix destins (5)


    Datte: 16/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... jour en se remémorant le popotin de sa frangine. Dire qu’il ne l’a pas même aperçu à poils. Il se retrouve dans sa piaule avec sa quille à la main.
    
    D’instinct il commence un va-et-vient forcené. Mais dans sa caboche quelque chose lui dit de ne pas aller jusqu’au bout, de se calmer. Il ne va tout de même pas devenir un onaniste convaincu. Non ! Il décide donc pour se désemplir la tête d’aller voir si la télé ne présente pas un bon film, histoire de se vider… la tête plutôt que les burnes. Dans la salle de bains, la lumière est toujours allumée. Judith s’y trouve donc encore. Le salon est là sur la gauche. L’appart est bien meublé par papa et maman qui ont veillé à ce que leur progéniture ne manque de rien.
    
    Un canapé trois places et deux fauteuils qui l’encadrent font face à un immense meuble bibliothèque au milieu duquel un téléviseur dernière génération dort pour l’instant. La box assure internet partout dans la maison, Wi-Fi oblige. Muni de la télécommande, l’apprenti avocat débute un zapping censé lui permettre de découvrir le programme idéal pour une soirée de détente. Et c’est sur un truc un peu vieillot que s’arrête son choix. Dany Boon en facteur de choc donne la réplique à un Kad Mérad désopilant.
    
    Le générique de début se déroule sur l’écran avec sa petite musique de fond. C’est l’instant que choisit Judith pour, elle aussi, débarquer dans le salon.
    
    — Tu as choisi quoi ?
    
    — Un truc marrant ! Mais on peut changer si tu veux.
    
    — Le titre ? Bon sang ! ...
    ... Dis-moi le titre au moins.
    
    — Bienvenue chez les ch’tis.
    
    — Bon au moins on aura pas à se forcer l’esprit pour comprendre. C’est du réchauffé, mais ça me va.
    
    — D’accord ! Ça va juste commencer. Tu te mets où ? Sur le canapé, ou bien tu prends un fauteuil ?
    
    — Peu importe… à mon avis, je vais m’endormir dans pas longtemps.
    
    — Prends le divan, tu pourras étendre tes guibolles.
    
    Elle le trouve soudain bien prévenant ! Mais c’est sympa qui le soit. Elle s’installe donc au milieu de la longue assise du siège de cuir couleur crème. Puis elle replie sous ses fesses ses deux jambes, tirant sur sa nuisette un peu courte pour la garder sur ses genoux. Stéphane colle son derrière sur le fauteuil qui est à sa gauche. Les images défilent et l’acteur qui joue est dans une position délicate suite à une série de mensonges. À la dérobée le garçon jette un coup d’œil vers sa sœurette qui bâille déjà.
    
    La serviette qui lui enturbanne la tête est appuyée sur le dossier du canapé. Sous la fine étoffe légèrement transparente, il devine la poitrine qui la tend à chaque respiration. Ses seins laissent entrevoir une pointe marquée dans le tissu peu épais. Et du coup, le calme relatif du garçon est de nouveau perturbé par l’imagination de ces nichons haut perchés. Et fatalement chez lui, c’est toujours sous la ceinture que se déclare le séisme. Il pose sa main sur sa braguette, pensant sans doute masquer la déformation de l’endroit.
    
    Ça ne sert finalement à rien puisque Judith a déjà ...
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