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Dix femmes... dix destins (5)
Datte: 16/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... accentue une douleur incompréhensible. Et enfin un rythme de croisière ou le bien et le mal se mélangent en une seule sensation. Une émotion de se sentir enfin dépucelée, comme si l’hymen devenait à la fois étoile et soleil, nuit et jour confondus. — C’est bon… n’arrête pas, n’arrête plus, plus jamais… donne… donne, donne-moi du plaisir ! — oooOOooo — À genoux devant le corps de sa sœur, Stéphane se masturbe doucement. Elle crie sans trop qu’il comprenne pourquoi. Le bruit de ses paroles ne couvre pas celui des acteurs du film. Le garçon tend l’oreille, mais n’arrive pas à saisir le sens de ce qu’elle marmonne entre ses dents. Il arrête sa branlette, effrayé par les gémissements de la jeune femme qui fait visiblement un cauchemar. Mais les mains de Judith aussi font un étrange périple pour se rendre aux confins de son déshabillé. Il reste coi de la voir remonter le fin tissu. Elle aussi se touche en gesticulant dans tous les sens et elle se recroqueville sur le sofa. Elle bouge dans une crise d’hystérie ressemblant fortement à une danse amoureuse. Elle rêve à quelque chose de très excitant à en juger par ces déhanchements forcenés. Sa main tripote sa chatte surmontée d’un buisson enflammé et ses seins se soulèvent alors qu’elle braille des mots insensés. Stéphane ne bronche plus. Sa queue reste pourtant raide comme un piquet de pâture. Il ne tente pas de calmer ou de réveiller celle qui lui offre un drôle de spectacle. Les doigts de sa sœur griffent le bas ...
... de son ventre. Elle le soulève pour enfoncer en elle un index rageur. À aucun moment, elle n’a cessé de marmonner des suites de phrases indéchiffrables pour l’ouïe de Stéphane. Et ses phalanges tendues en guise de bite miniature s’enfoncent dans ce que le garçon guette avec insistance. De la chatte suinte de la mouille et l’index semble être avalé par cette cavité humide. Judith hurle encore et encore. La dernière phrase devient plus compréhensible et le jeune homme croit comprendre. « — C’est bon… n’arrête pas, n’arrête plus, plus jamais… donne… donne, donne-moi du plaisir ! » Mais il n’est certain de rien. Il se recule un peu et la main qui revient de la cave a une petite tache de sang sur l’ongle de l’index. Merde ! Cette fois, elle va trop loin ! Il a peur qu’elle se fasse du mal. Il hésite, il recule encore un peu plus et se rassoit sur son fauteuil. Sa sœur est désormais plus calme, mais son cou et en sueur. Alors il pose sa main sur le bras de la femme allongée. — Judith ! Judith bon sang, réveille-toi ! — Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? — Je crois que tu as fait un cauchemar… tu cries depuis au moins cinq minutes et tu t’agites dans tous les sens. — Quoi ? Où sommes-nous ? — Ben… dans le salon et nous regardons le film… — Merde ! J’ai vraiment crié et rêvé… — Oui… ça ne devait pas être si désagréable… mais regarde ta main ! — Ma… main ? — Oui. Tu as dû te griffer quelque part, tu vois… il y a un peu de sang sur le canapé ! — ...