1. Le paradis des couples. IPV4


    Datte: 15/12/2020, Catégories: fh, couplus, cocus, dispute, pénétratio, fsodo, échange, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... son mari vers mon épouse.
    
    C’est un cadeau. Une offrande. Décidément les femmes m’étonneront toujours. Nous nous croyons plus malins, mais elles ont l’intuition. Caroline apporte son mari à Séverine. Elle s’éloigne. Je comprends que je ne dois pas rester en trublions de cette situation si étonnante. Pendant quelques secondes les deux couples s’examinent.
    
    — Venez, dis-je à Caroline.
    — Mais je veux voir ! insiste-t-elle.
    
    Bien sûr qu’elle veut voir, résoudre sa question de toute à l’heure. Le candaulisme est-il aussi féminin ? Mais moi je sais que si nous restons nous allons perturber le couple. Nous ne parlons pas de partenaires aguerris et habitués à se montrer, mais d’amateurs que la présence de public surtout familial peut perturber.
    
    — Chut. Venez. J’ai le moyen de vous montrer.
    
    Elle me suit de mauvaise grâce. Je l’entraîne dans notre chambre. Elle me questionne du regard le temps que je démarre l’application, le temps que l’écran de la télé fixée au mur s’allume et que le transfert se fasse.
    
    Elle comprend lorsque l’écran montre le salon. Montre le couple. Montre l’homme, torse nu, et la femme dénudée. Les amants se retrouvent seuls. Même si l’un et l’autre connaissent maintenant le miracle de ces caméras IP, je ne suis pas certain qu’ils s’en inquiètent. Sur eux aussi la tension de cette soirée, la douceur de la musique, la sensualité du frotti-frotta, fut-il entre époux, mais surtout le vin et ma vodka si redoutable, produisent leurs effets.
    
    Pendant ...
    ... que Caroline et moi nous nous asseyons sur le lit, l’écran à bonne distance, les amants se retrouvent. Moi je l’ai déjà vu, mais ma voisine le découvre. Voir ma femme défaire la ceinture, tirer le zip, baisser pantalon et slip est une nouveauté pour Caroline.
    
    Voir Séverine se laisser défaire des deux morceaux de dentelle qui préservaient encore sa nudité !
    
    Voir les amants, s’embrasser debout, face à face avec leurs mains qui semblent animées d’une vie propre !
    
    Voir Séverine prendre la bitte de son amant en bouche !
    
    Ma voisine bouge. Sans quitter l’écran des yeux, je sens le matelas bouger. Elle cherche une meilleure position.
    
    Mais déjà Arnaud a fait se relever sa prêtresse. Il la soulève, fétu de paille, dont les cuisses s’ouvrent pour s’enrouler autour de la taille de l’homme. La queue est-elle déjà au chaud ? Je ne sais pas. On ne voit pas tout. Mais ce que l’on voit c’est que le fardeau vient se poser sur la table dont les assiettes du repas sont repoussées. Elle est assise, mais c’est une cheville qui la maintint ainsi. Une cheville de chair qui entre et sort sans cependant pouvoir s’éloigner, contrainte par les jambes qui enveloppent la taille de l’homme.
    
    Un soupir. Je tourne la tête. Nos regards se croisent. Manifestement gênée, Caroline se détourne. Pourtant je l’entends dire :
    
    — Je comprends maintenant.
    — C’est beau, n’est-ce pas, rétorqué-je.
    
    Un moment nous regardons le couple qui s’active. J’augmente le son. La chambre résonne de tous ces ...
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