1. Le paradis des couples. IPV4


    Datte: 15/12/2020, Catégories: fh, couplus, cocus, dispute, pénétratio, fsodo, échange, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... seuls, je pense, pour y avoir déjà assisté, à plus de rudesse dans les actes, mais surtout dans les paroles. Pour l’instant ce ne sont que des soupirs et gémissements. Pas de « t’aimes quand je t’encule, ma petite pute ? » ou de « Vas-y laboure moi et crache ta purée dans mes entrailles ».
    
    Il jouit. Un instant, il s’immobilise. On voit nettement ces petites secousses révélatrices des éjaculations successives. Sans m’en rendre compte, j’ai arrêté de baiser Caroline. Bien au chaud dans sa grotte, elle et moi assistons à ce spectacle, renouvelé pour moi, mais nouveau pour elle, de ce moment si rare où les amants convergent dans la jouissance.
    
    Mais nous aussi sommes des amants et si j’adore prendre une femme en levrette, je voudrais voir le visage de celle-ci dans ce moment-là.
    
    Sur l’écran les deux amants ne forment plus qu’un. Arnaud est à demi couché sur ma femme. Ils reprennent leurs esprits. Je les imagine pensant chacun de son côté : « Avons-nous bien fait ? Peut-être que nous n’aurions pas dû, même si cela se passe sous l’impulsion de Carline. Caroline qui peut-être est en rage de nous avoir vus. Qu’elle a la haine contre nous ? »
    
    Moi, c’est une pensée plus douce alors que je m’allonge sur le lit pour inviter ma maîtresse à venir me chevaucher. Chevaucher, oui, ainsi je pourrai bien la regarder, mais aussi c’est une position qui laisse une totale liberté à la femme.
    
    Elle guide elle-même mon dard dans sa chatte. Elle est assise sur moi. Son visage d’ange ...
    ... semble troublé, comme une pierre perturbe la surface lisse de l’eau. Je suis presque étonné de la dextérité et du plaisir qu’elle a de bouger du bassin pour mieux me sentir. C’est vrai que c’est une vraie femme, une femme mariée depuis quelques années si je me souviens bien. Et ce n’est pas parce qu’on lui donnerait le bon dieu sans confession que la sexualité est un mystère pour elle.
    
    J’adore la façon qu’elle a de se caresser elle-même, de flatter ses seins, de tordre un peu ses mamelons, de descendre le long de son ventre pour aller chercher son petit bouton.
    
    Commence alors sa douce musique, ses feulements alors qu’elle se baise sur mon vit. Je la regarde, je cherche à déceler chaque sensation sur son visage. Elle est belle. Le plaisir de se baiser lui fait quitter cette candeur de façade pour laisser apparaître des rictus, des yeux qui se troublent, des lèvres mouillées de salive.
    
    Mais un changement de lumière me fait regarder ailleurs. Je découvre à la porte Arnaud et Séverine. Caroline ne les voit pas, car elle leur tourne le dos. Ils regardent. Que va penser Arnaud ? Mais aussi, que va penser ma femme ?
    
    Arnaud avance lentement. Il me rassure d’un sourire. Heureusement que ma cavalière est dans son trip, car je devais montrer une certaine inquiétude. Il reste quelques secondes à nous regarder et puis avance encore, avance assez pour se retrouver face à sa femme.
    
    — Arnaud ! Je… tu… dit Caroline qui soudain s’arrête, figée sur mon mandrin.
    
    Merde, il a cassé ...