1. Marsupilami (Chapitre 2)


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Vvjqc, Source: Hds

    ... soldèrent par des échecs cuisants. Mais, malgré tout cela, et même à la fin de notre relation lorsque les parties de jambes en l’air s’essoufflaient, j’ai bien vu l’étincelle qu’allumait la vue de mon énorme sexe nu dans ses yeux.
    
    Elle me l’avait dit elle même, une grande excitation dans la voix : elle n’en revenait pas d’avoir accueilli une telle monstruosité en elle - et elle s’en souviendrait toute sa vie. Elle avait d’ailleurs beaucoup contribué à ma réputation, principalement auprès de la gent féminine, qui bientôt se passionna d’intérêt pour la trompe trainant entre mes jambes.
    
    Les qualificatifs à l’époque gênants pour moi fusaient : “bite de cheval”, “l’avant bras”, “la poutre”... Et bien sûr, Marsupilami.
    
    C’est donc ma soeur qui m’a donné ce surnom, l’été de mes 15 ans, alors que ma verge atteignait des proportions alarmantes et que j’attirais même parfois l’oeil des naturistes. Nous parlons bien ici de taille au repos -ou au maximum demi-molle-, qui malgré mon jeune âge, ridiculisait tous les hommes de mon entourage, et me valait un nombre incalculable de bourrades ringardes du type “Ah il tient pas de son père” - mon père possédant de plus un sexe qui se place dans une bonne moyenne supérieure selon moi.
    
    Je ne tirais, à cette époque, aucune espèce de sentiment de supériorité sur qui que ce soit, ...
    ... et cette attitude, sans doute emprunte d’une pointe de jalousie, me semblait indigne de cette pensée dans laquelle j’ai grandit. Je mentirais toutefois si je disais ne pas avoir appris à apprécier cette jalousie chez mes semblables : j’ai appris à tirer un certain plaisir sexuel de l’exhibition, premièrement devant les regards hallucinés des femmes nécessairement intriguées, ensuite devant leurs compagnons au sexe d’une taille considérablement réduite, si on le compare au mien. J’ai notamment tiré un plaisir égocentrique dingue dans mon adolescence lors de mes nombreuses heures face à du contenu pornographique, lorsque je m’apercevais que mon sexe au repos équivalait quasiment au sexe moyen en érection, une sorte de sentiment absurde d’être un mâle alpha. Malgré cela, et en dehors de l’excitation sexuelle, j’étais plutôt humble voire timide quant à la taille de mon sexe, qui est d’ailleurs rapidement devenue un fait de notoriété publique, du moins dans mon cercle de connaissances proches. Il m’est de toute manière très difficile de cacher quoique ce soit, même avec un pantalon ample.
    
    Il ne faut pas se méprendre, je ne me plains pas vraiment : cela m’a sans aucun doute permis de baiser tout ce qui bougeait à une époque de ma vie, y compris certaines amies, qui pour la plupart avaient les yeux plus gros que le ventre. 
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