1. Marsupilami (Chapitre 2)


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Vvjqc, Source: Hds

    J’ai connu des filles de toutes les tailles, toutes les couleurs, toutes les morphologies, de la petite timide à l’extraordinaire salope en passant par la pédagogue.
    
    Iris, toutefois, malgré sa grande simplicité, restera aisément dans mon top 10, tant j’ai un sentiment d’accomplissement en pensant à notre brève relation. J’ai notamment grâce à elle grandement perfectionné ma pratique du cunnilingus, léchant sans relâche sa fente humide, des érections monstrueuses entre les jambes.
    
    Elle m’a masturbé de ses deux mains un nombre incalculable de fois quand, nos deux corps, encore trop incompatibles, se languissait l’un contre l’autre, frustrés.
    
    Et puis un soir, dans un élan d’excitation incontrôlable, elle s’est ouverte à moi. Elle était bouillante, geignait alors que je la léchais sans relâche tandis que son sexe dégoulinait littéralement sur ma langue.
    
    Elle m’avait interrompu, avait remonté ma tête au niveau de la sienne en me tirant par les cheveux, et d’une voix presque plaintive m’avait déclaré : “Je veux ton énorme queue en moi”. Mon érection a alors été décuplée, et alors que j’enfonçais très lentement les premiers centimètres, elle se mit à gémir.
    
    Elle me murmura de ne surtout pas m’arrêter, qu’elle pleure ou supplie. Je sentais son vagin étroit se resserrer sur moi, la pénétration se faisait de plus en plus difficile, et tandis qu’Iris se crispait et se contractait, j’entamais au terme de l’interminable pénétration - sans toutefois pouvoir enfoncer ...
    ... plus de la moitié de mon sexe en elle - un lent mouvement d’aller retour.
    
    Chaque fois que mon mandrin se retirait lentement d’elle, je lisais dans ses yeux et dans ses cris sauvages et langoureux un mélange de soulagement et de frustration, et lorsqu’il revenait douloureusement en elle, un mélange de souffrance et de plaisir. Petit à petit, elle s’est détendue, et j’ai pu accélérer raisonnablement mon mouvement. Je la sentais battre autour de moi, envelopper mon sexe titanesque tant bien que mal, tandis que celui ci commençait à la pilonner doucement.
    
    Il va de soit qu’un sexe titanesque ne constitue pas l’assurance d’un rapport de qualité : il fut pour moi très éprouvant de retenir mon éjaculation au bout de quelques minutes, d’autant plus que ce soir là, cela faisait un an environ que je n’avais pas accomplit de pénétration digne de ce nom.
    
    Mais à force d’efforts importants et de ralentissements stratégiques, j’ai connu ce soir là, à presque 19 ans et pour la première fois, l’extase de l’orgasme simultané. Les hurlements sauvage d’Iris accompagnèrent l’anéantissement de toute ma frustration, et alors que je déversais une quantité affolante de sperme en elle, mon esprit se libéra d’un poids considérable.
    
    Il m’était possible, humainement, de faire l’amour. Cette phrase peut paraître stupide et anodine, mais pour moi c’était une victoire immense.
    
    Evidemment, la belle Iris n’avait pas toujours été aussi volontaire que ce soir là, et certaines de nos tentatives se ...
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