1. Suis-je candauliste ?


    Datte: 15/12/2020, Catégories: fhh, fhhh, cocus, hotel, caférestau, boitenuit, danser, voiture, fsoumise, jalousie, noculotte, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Annie-Aime, Source: Revebebe

    ... pour avoir mon tour. Par chance, j’ai droit à un numéro de faveur. C’est un slow, je m’autorise des privautés auxquels je n’ai pas trop droit d’ordinaire. Bizarre, pas de rebuffades aujourd’hui. J’accentue ma pression sur la fesse et lui en fais la remarque. Elle rit.
    
    — Je parie qu’Hélène t’a rapporté que Damien me pelotait les fesses, j’ai bien vu que tu dansais avec elle. C’est une vieille bique.
    — En tous cas, bonjour ta réputation !
    
    Pour toute réponse, elle me serre davantage contre elle et guide ma main dans l’entrejambe poisseux.
    
    — Branle-moi !
    
    Le mot est nouveau dans sa bouche, tout au moins je ne l’y connaissais pas. Il n’en est pas moins savoureux et très explicite. Je suis un brin timoré, on se refait pas.
    
    — Mais, on va nous voir !
    — Mais non ! Et puis t’es mon mari, évacue-t-elle avec impatience.
    
    Pas de souci de lubrification, l’endroit l’est abondamment. Je pars à la recherche du clito et le repère, le roule, l’écrase, l’étire et le martyrise comme jamais je n’ai osé. Annie se mord les lèvres.
    
    — Aïe, vas-y mollo, il est sensible.
    
    Je me fais plus léger. Pas plus de trente secondes.
    
    — J’aime autant quand tu vas fort.
    
    Faut savoir ce qu’on veut ! Ma Dame veut des sensations, j’y vais franco, elle se mord à nouveau les lèvres, probablement pour ne pas crier mais elle ne se dérobe pas pour autant. Au contraire, elle offre son bas-ventre au supplice… Une idée me traverse l’esprit.
    
    — Ça te plait d’être nue.
    — … hum… J’aime, ...
    ... gémit-elle.
    
    Je ne sais pas si c’est la branlette ou le fait d’être nue mais j’ai tendance à croire qu’elle aime les deux. Je poursuis la branlette avec encore plus d’ardeur.
    
    — Pourquoi on n’a jamais fait ça avant ? m’étonné-je surpris du plaisir que j’éprouve.
    — Je croyais pas que tu aimais et pis, t’as toujours peur de te faire remarquer.
    
    Là, elle marque un point, elle n’a pas tort. J’ai d’autres questions mais je m’abstiens. Je sens chez elle un soudain raidissement, la main qui boulonne est en même temps plus humide. Bientôt le soupir exhalé me donne quitus de mon pressentiment. Elle a joui.
    
    — C’était bon ! souffle-t-elle avant de s’emparer de mes lèvres pour un baiser d’enfer.
    
    Je n’ai pas chronométré mais à vue de nez – à cheval sur deux slows – on ne doit pas être loin du record de l’autre guignol.
    
    Ce n’est pas fini, Annie m’entraîne à sa suite.
    
    — Viens !
    
    Nous sortons. À l’extérieur, la pénombre est plus épaisse, le ciel s’est couvert, une brise légère, agréable, chasse les miasmes, apportant un peu de fraîcheur bienvenue.
    
    Plus loin… Le grand portail d’entrée est fermé. Il condamne le passage vers le parc arboré où Annie pensait se réfugier… Les alentours ne sont pas moins déserts, juste moins discrets. Ils font malgré tout notre affaire, et m’acculant contre la grille de clôture, ma dame passe à l’action. Ses intentions sont limpides et ma queue dans sa main approuve tout à fait.
    
    Pourquoi juge-t-elle indispensable d’enlever sa robe ? Les pierres ...
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