1. HEURE SUP...


    Datte: 14/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... donne libre cours à mes pulsions. J’avais envie de ce pied qui aurait répugné d’autre bouche. Ça ne faisait que rendre mon attirance plus trouble, donc plus excitante.
    
    Je décelais sortir de sa bouche quelques gémissement étouffés. La coquine avait maintenant les yeux ouverts, et fixait la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon en tergal. Elle me proposa même :
    
    - Il serait plus raisonnable de s’arrêter, vous ne croyez pas ?
    
    - Je pense que vous avez raison…
    
    Pour ma future manœuvre, je posais son pied sur mes cuisses et chercher un coin où nous pourrions nous poser en toute quiétude. Sitôt stationner elle exigea de ma part de lui exhiber ma verge. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
    
    En quelques gestes bien précis, je mis à l’air ma verge bandée. Je la vis pâlir de convoitise en la fixant. Elle s’en était saisit du bout de ses pieds et me masturba. Tantôt avec les deux pieds, tantôt entre les orteils de chaque pied. Je faillis pousser un cri de bonheur, lorsque le nylon effleura le gland. Secouant tout mon corps d’ondes délicieuses, de plus en plus puissantes.
    
    Enfin, parce qu’elle n’en pouvait plus de désir, elle décida de passer à la vitesse supérieure. Pour ce faire, elle me délaissa quelques instants. Le temps de se remettre en position assise sur son siège.
    
    Ses doigts m’appelaient. Je me déplaçai pour lui mettre ma queue dans la main. Qu’elle serra, tâta, palpa avec une fébrilité avide. L’idée qu’elle me branlait me gorgeait de délices. À en ...
    ... claquer des dents. J’écartais les cuisses pour qu’elle puisse aussi toucher mes couilles. Le message était bien passé, puisqu’elle m’agrippait tout le paquet. Le serrant très fort, à me faire mal. Mais c’était si délicieux qu’elle me fasse mal.
    
    Quand je sentis que le plaisir arrivait, je lui griffai le poignet. Ma verge était devenue énorme. Gonflée de plaisir. Et bien sûr ce qui devait arrivée, arriva. En gros jets.
    
    Le don terminé, avec sa jupe plissée roulée sur le haut de ses cuisses. La nuque renversée sur l’appui-tête, elle donnait l’impression de somnoler alors qu‘elle se gavait du sperme avait souillé sa main.
    
    Je détachais la ceinture de sécurité, puis je plongeais carrément la tête entre les cuisses de la femme, entrainant sa jupe vers le haut. De sa fourche, un parfum capiteux s’en exhalait. Achevant de me tournebouler les sens. De mettre à bas mes dernières résistances. Mon ultime pudeur. La femme, elle restait immobile comme une statue. Attendant la suite du programme, parce qu’elle savait qu’il n’allait pas s’arrêter en sin bon chemin. Je fis connaissance avec sa culotte très pudique, blanc, bordé d’une fine dentelle, couvert par le collant. D’où se dessiner un mont de Vénus bombé. Instinctivement, elle cambra les reins et son ventre. J‘entrepris de lui soutirer le collant, puis de sa petite culotte. Je tremblais d’excitation et d’impatience.
    
    Dessous se tenait une petite bande de poils châtain. Le reste de son sexe était consciencieusement épilé. Un dôme ...