1. HEURE SUP...


    Datte: 14/12/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... qu’elle sera là.
    
    - A cent pour cent. Après un accident de moto elle a perdu la motricité de ses jambes.
    
    Plus rien ne pouvait nous empêcher de prendre la route. Après seulement quelques kilomètres, elle se plaignait d’avoir froid aux pieds.
    
    - De vrai glaçon, se confessa-t-elle. Celui vous ennui que je me déchausse.
    
    - Faîte-donc…
    
    - Merci, fit-elle, en s’ôtant avec son pied opposé ses escarpins. À travers le nylon couleur pêche, par transparence je distinguais ses ongles délicatement vernis en rouge. Je décelais de ma hauteur, une petite callosité sur le talon du pied gauche.
    
    Avec la souplesse d‘une gymnaste, elle posa ses pieds en appuis sur le tableau de bord. Se penchant ensuite vers eux, elle les prit un dans chaque mains. Mon regard se portait tantôt sur la route, tantôt sur ses mains. Très vite je fus obsédé par une envie irrésistible de caresser ses pieds. Et je ne tardais pas à proposé à ma passagère mon aide.
    
    - Je vois que ce n’est pas très confortable.
    
    - Je ne vous le fais pas dire… J’en ai le souffle coupée à me casser comme cela, en deux…
    
    - Vous désirez que je vous les masse ? Lui proposais-je.
    
    - Cela ne vous ennuie pas ?
    
    - Si je vous le propose c’est que je serai ravi de vous prendre ce service.
    
    - Comment fait-en ?
    
    En quelques mots je lui indiquais comment je voyais la chose. Elle s’exécuta, pivotant sur son siège. M’offrant une vue plongeante sur son entrecuisse, avant d’apposer ses pieds sur mes cuisses. Je ressentais comme ...
    ... une terrible décharge électrique dans tout le corps, lorsque le bout de mes doigts fébriles entrait en contact avec la peau nylonnée. Je me mis à frictionner ses petons en faisant tout pour cacher mon trouble. La réaction de la femme était tout à fait normale.
    
    - C’est très agréable, fit-elle. Vous avez tes doigts de fée… Commençant à prendre goût petit à petit à ce que j‘exerçais sur ses pieds. Je lui fis remarquer qu’ils étaient juste magnifiques. Pas un seul pli, pas un orteil plus déformé que l'autre, pas de surcharge avec le verni à ongles rouges. Bref, ses pieds étaient célestes.
    
    Mon désir était tellement vigoureux que je ne pu combattre à l'envie de porter son pied à la hauteur de mon nez. Laquelle avait eu un léger frémissement du buste, mais ne se déroba pas à ma manœuvre. Se contentant seulement de refermer sa jupe, inquiète sans doute de m’exhiber ce qui ce trouver en-dessous.
    
    Le collant sentait fort. Comme s’il avait été porté plusieurs jours. Ma pulsion sexuelle atteignait à cet instant son summum. Seul le bruit du moteur coupait le silence. Je sentais mon cœur battre la chamade, et la sueur ruisseler dans mon dos. Collant mon tee-shirt à mes omoplates. Sans aucune gêne je me mis à pourlécher le pied à travers le nylon qui le rendait rugueux. La tête en appui contre le montant, elle avait les yeux clos. Savourant l’instant. Je me sentais saisi par une frénésie comme j’en avais rarement éprouvé ces derniers temps. Je ne me raisonnais plus. Il fallait que je ...