Je découvre que ma mère est une cochonne, adepte de pratiques SM (2)
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: tardemars, Source: Xstory
... enragé. Au bout d’un moment d’assauts énergiques, délicieux, je me retirais pour admirer son énorme cul et sa chatte dilatée. Ma mère était superbe, merveilleusement chienne.
Je dénouais alors son bustier qu’elle avait toujours sur elle. Toujours à genoux derrière elle, je passais les mains sur ses beaux gros seins, les attrapais à pleines mains. Qu’elles étaient belles ces mamelles ! Je jouais avec un moment puis revenais vers son cul. J’écartais ses grosses fesses pour encore profiter du beau spectacle de sa fente, de sa vulve d’où coulait la cyprine. Je glissais un doigt entre ses cuisses et récoltait le précieux jus sur mes doigts. Je le goûtais. Il était sucré et salé en même temps, c’était délicieux.
— Tu es vraiment une cochonne, maman !
— Non, je suis une chienne. TA chienne !
Hyper excité, je me mis à la baiser encore plus fort. Puis je sortais et tentais une exploration de son cul. Elle avait un petit trou absolument charmant. Mon doigt pénétra son anus, d’abord discrètement puis plus franchement.
— Bonne idée, ça Léo, encule moi. Les chiens aiment bien ça, en général.
Ça tombait bien, moi aussi. Je mouillais copieusement l’anus de ma mère avec de la salive, positionnais ma queue à l’entrée et je poussais. Mon gland pénétra sans encombre. Je poussais encore et j’étais entièrement à l’intérieur. Ma mère, très coopérative, était détendue. C’était superbe.
Je la baissais doucement comme ça un moment. Puis je ressortais et revenais vers son vagin. ...
... Ma mère exultait de plaisir.
— Ha c’est bon Léo ! Ha, tu vas me faire jouir !
— Merde, maman, moi aussi je vais jouir !
J’envoyais encore quelques somptueux coups de queue qui firent basculer ma mère en avant, puis... un flash d’une extraordinaire puissance, la tête qui explose, le plaisir qui jaillit...Enfin je jouissais. Quelle incroyable sensation de se lâcher au fond de sa mère ! Mon sperme s’écoula dans le vagin de ma génitrice, l’envoyant elle aussi au paradis. Quelques minutes après, je me retirais d’elle, le sexe trempé, le sperme dégoulinant de sa chatte. Je me relevais pour attraper mes vêtements. J’allais détacher ma mère lorsqu’elle m’interrompit.
— Laisse moi attachée Léo. Peut être voudras tu encore en profiter plus tard. Je vais rester là, dans le jardin. Tu vas juste m’apporter un peu d’eau dans un bol pour que je puisse boire.
Encore une fois je n’en revenais pas. Je regardais ce drôle de spectacle de ma mère assise au sol, attachée à cet arbre, nue, réduite à l’état animal. J’allais dans la cuisine, je prenais un bol d’eau et je lui apportais. Je le posais devant elle. Elle me sourit alors.
— Ca te plaît, Léo? Ca te plaît d’imaginer que je suis à ta merci. Tu vois ta maman attachée comme une chienne, tu peux faire ce que tu veux et me corriger si je suis méchante. Tu me trouve méchante ?
— Non maman.
— Dommage, tu aurais pu me corriger... Alors laisse moi, je vais me reposer. Tu reviendras plus tard.
Je m’en allais alors et rentrait ...