Je découvre que ma mère est une cochonne, adepte de pratiques SM (2)
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: tardemars, Source: Xstory
... voulait retenter l’expérience.
— Bien, regarde dans le carton s’il y a quelque chose qui te plaît.
Puisque c’est elle qui me le demandait je sortais les objets un à un. Des menottes, des godes, sangles diverses... Je bloquais sur une longue sangle au bout de laquelle pendait un collier en cuir au bout avec un petit cadenas qui devait servir à fermer le collier. Je me demandais quel en était l’usage.
— C’est une laisse, me dit ma mère, devançant ma question.
— Une laisse ? Pourquoi faire ?
— Ne sois pas idiot. Réfléchis !
Elle attrapa le collier, l’attacha à son cou.
— Tu as envie de ça ? Tu vas me tenir en laisse, comme si j’étais une bonne chienne, bien docile.
— Maman, tu es complètement givrée. Je n’ai pas l’intention d’entrer dans ce jeu.
— Moi, givrée ? Et toi, tu es quoi ? Ose dire que tu n’as pas aimé me baiser, hier !
— Maman, c’est toi qui a voulu faire ça ! C’était ton idée.
— Mais tu étais bien d’accord ! C’est toi, petit cochon qui as mis ta queue dans ma chatte, non ? Et je l’ai bien sentie, elle était bien dure ! A mon avis ça fait même des années que tu as envie de me la mettre !
Que pouvais je dire ? Bien sûr que j’avais envie d’elle, depuis longtemps. Depuis l’époque de mes premières masturbations, je me disais que ma queue serait bien mieux à l’intérieur d’un bon vagin de femme, et notamment celui de ma mère. Je m’étais d’ailleurs masturbé un bon nombre de fois dans ses petites culottes qui traînaient dans la corbeille de ...
... linge sale, imaginant sa fantastique chatte. Ma mère s’en était sans doute bien aperçue. Alors aujourd’hui comment ne pas céder à son chantage ? Comme la veille je décidais de suivre ses directives. J’attrapais la laisse, l’accrochais autour de son cou, puis fermais le petit cadenas.
— Bien, dit ma mère, maintenant amène moi dans le jardin.
— Dans le jardin ? Pourquoi faire ?
— Léo, arrête de discuter s’il te plaît.
Médusé, incapable de plus protester, je la traînais dehors. Ma mère me suivi docilement. Une fois dans le jardin elle m’ordonna d’aller au milieu de la pelouse. Là elle baissa sa culotte, la retira entièrement, et s’accroupit devant moi.
— Retourne toi Léo. Je vais faire pipi.
— Comme ça, ici ? À côté de moi ? Mais maman, c’est pas possible.
— Bien sûr que si c’est possible. Je ne peux pas attendre, j’ai trop envie. Si tu te tournes pas je le fais devant toi.
A peine avais je le dos tourné que j’entendis un jet de liquide couler au sol. Ma mère était bien en train d’uriner à côté de moi, sans la moindre gêne. Le seul fait de l’entendre suffit à m’exciter. J’imaginais sans peine son jet jaillir de son minou. Elle se redressa ensuite.
— Bien. Ca va mieux. Attache moi à cet arbre maintenant.
Elle me montra dans le coin du jardin un petit chêne que nous avions planté récemment.
— Maman ? Pourquoi ?
— S’il te plaît. Fais ce que je dis, attache moi.
Ne sachant que répondre j’ai à nouveau fait selon ses instructions. J’ai passé la ...