1. Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.


    Datte: 14/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Romain69130, Source: Hds

    ... idée me guide, aller voir.
    
    Pourquoi aller là-bas ?
    
    Pourquoi vais-je vers le parking ou beaucoup de places se sont libérées car il se fait très tard ? Parking sombre en effet, propice à la discrétion. En plus, pensai je, les vitres arrières sont fortement teintées, ce qui n'était pas le cas dans ma jeunesse.
    
    Mon quatre-quatre est là. C'est donc ici que ma femme s'est donnée. Marie que je tiens par la main, peut être inquiète de ma réaction. Presque au pied de la portière arrière, deux objets. Deux choses flasques. La preuve irréfutable qu'elle m'a dit la vérité. Deux préservatifs dont on peut voir qu'ils ont servis.
    
    J'ouvre la portière. Au sol, deux emballages déchirés. Une pensée qui surgit, incongrue, déplacée : "est ce Marie qui a déroulé le plastique sur le sexe durci de son amant" ? Mais aussi sur la banquette un peu plus loin, son soutient gorge, tache blanche qui tranche sur le cuir sombre.
    
    Je me retourne. Elle est juste derrière moi. Peut-être que sur mon visage on peut lire de la colère ou de la stupeur.
    
    — Tu m'en veux ? Mais Chéri c'est toi même qui m'a demandé de …..
    
    — Non, non. Ce sont juste des souvenirs. Je me souviens juste les fois où nous avons fait l'amour ainsi.
    
    — C'est vrai.
    
    Ce sourire chasse la crainte. Son sourire s'accentue.
    
    — Je me souviens parfaitement que nous commencions toujours de la même façon.
    
    Elle a raison.
    
    — C'est vrai.
    
    Elle n'est presque pas étonnée de me voir défaire ma fermeture éclair et extraire ma ...
    ... verge. Une verge en grande forme. Marie la voit. Mon invitation est évidente. Jeune j'adorais qu'elle me suce un peu avant. Certainement vouloir montrer sa virilité.
    
    Elle la voit et la caresse d'un doigt. Je frémis de ce simple attouchement. Elle s'agenouille. Je suis debout, la portière de la voiture encore ouverte. On pourrait nous voir, mais il fait sombre. Et pendant que ma femme commence sa fellation je regarde passer un peu plus loin des convives qui partent. S'ils savaient !
    
    Ma femme me suce et me pompe comme elle sait si bien le faire. A-t-elle montré ce talent à celui que je peux appeler son amant, même s'il n'est que d'un soir ? Cette pensée me trouble. Pire elle m'émoustille. Mon cerveau construit l'image. Comme nous dehors ? Ou portes fermées ?
    
    — Viens ! Dis-je à la pècheresse qui si je l'avais laissé faire, m'aurait pompé jusqu’à la moelle. Dans notre jeunesse elle était peu expérimentée, mais petit à petit, devant mes envies elle a appris tout l'art de sucer mais aussi de savoir recueillir ma liqueur.
    
    Merde, j'espère qu'elle n'a pas bu le jus de son amant. Non, elle sait combien cela est potentiellement dangereux avec un inconnu. Et d'ailleurs elle a parlé de deux fois et j'ai vu deux capotes.
    
    Elle se lève. D'un geste je la dirige. Elle s'appuie sur la banquette, les pieds encore à terre. Une levrette à la fois confortable et affichée. Je relève cette jupe qui descend jusqu'au-dessus des genoux. Ses fesses apparaissent, deux lobes bien fermes que ...
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