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Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.
Datte: 14/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Romain69130, Source: Hds
... longues secondes et puis. — Arrête. Attends. Sinon je vais jouir dans ta bouche. Surtout pas ! Je pense. Franck fais un pas de côté, se penche vers son pantalon pour en extraire une boite de capote. — J'ai pris une boite de dix. On ne sait jamais. Le prétentieux. A moins qu'il pense rester coucher. Merde je n'avais pas pensé à ça. — Mon mari rentre très tôt demain matin. Marie a toujours eu de la répartie. — Ah, dommage. Tiens met la. — Avec la bouche. Précise l'amant, alors que ma femme déchire l'emballage. On dirait qu'elle a toujours fait ça. Je n'ai pas le souvenir avec moi. Mais peut être avec l'amant qu'elle a eu. Au moins celui que je connais ! Peut-être que finalement elle n'a pas été aussi fidèle que je pensais. Mais qu'importe maintenant. Je ne vois pas les détails mais lorsque ma femme relève la tête, manifestement le plastique est déroulé tout au long de la tige. — Viens. Elle se relève. L'homme regarde autour de lui. Pourvu qu'il ne demande pas d'aller dans la chambre. Il a le choix. Deux canapés qui se font face, deux fauteuils. Mais c'est vers la grande table qu'il la guide. Marie est contre la table. Franck la soulève à peine et elle se retrouve assise sur le bois verni. — Tu es magnifique. Marie va dégrafer son soutien-gorge. — Non. Reste comme cela. Plus tard. Laisse-moi profiter. Il recule d'un pas. — Oui, vraiment. En plus cela te donne un air…coquin….provoquant….sensuel…plus encore. Tu ...
... ressembles à…. Il hésite. — Une Escort. Une pute C'est Marie qui a complété la phrase de façon si crue. — Je n'osais pas. Dit l'homme. — C'est ce qui plait à mon mari. La phrase s'adresse manifestement à moi. Mais je n'ai jamais parlé de cela. Pourtant elle n'a pas tort. Mais une pute de haut niveau. — Ton mari à bon gout. Je le comprends. — Viens, j'ai envie. Dit la femme qui s'allonge sur notre table de salle à manger. J'ai l'impression qu'elle me cherche dans l'obscurité. Je suis presqu'au-dessus d'eux. Franck obéit aussitôt. L'invite est forte. Il se dirige vers l'intimité. Il se saisit de la petite culotte. Je la sais composée de deux triangles, juste reliés par deux rubans élastiques. Il tire dessus. La croupe se détache de la table pour aider. Les deux jambes se rejoignent pour que le fin tissu puisse descendre vers les cuisses, puis les mollets, puis les pieds. Marie porte des hauts talons. Le passage est plus délicat mais l'homme lui laisse les chaussures. Décidemment ce garçon est surprenant par sa maturité dans le sexe et tout ce qui en fait le véritable sel. Je comprends que Marie en ai gardé un bon souvenir. Il ne la considère pas comme une femme infidèle qui veut se faire mettre et ne demande qu'une bitte pour la faire jouir. La culotte tombe, par hasard, juste à côté du pantalon et je sais qu'il repartira avec. Mais, si la culotte quitte les chevilles ce sont deux mains qui la remplacent. Deux mains qui progressent sur la soie ...