1. Le doigt dans l'engrenage. 1. Christophe.


    Datte: 14/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Romain69130, Source: Hds

    ... change. Cette lingerie les ramène quelques heures plus tôt ou ils baisaient sur la banquette arrière.
    
    Il s'approche d'elle. Il l'enlace. Elle semble sans vie, sans résistance mais aussi sans initiative. C'est un fruit à cueillir. Je sais qu'elle ne "voit" que moi.
    
    Il faut un long baiser pour que son visage s'anime. Les mains de Franck qui partent en exploration semblent sans effet sur elle. Mais elle ne cherche pas à partir. Un début ! Juste deux mains qui prennent la tête de l'homme pour que le baiser soit meilleur. Plus profond ! Plus intime !
    
    Mais Franck, et je le comprends, veut avancer. A sa place, la journée m'aurait semblé bien longue. Je serais impatient de retrouver celle qui s'est laissé séduire si vite, cette femme mure qui l'a chevauché sur la banquette arrière de sa voiture et tout le reste….
    
    Il trouve la fermeture éclair de la robe. Il lui suffit de faire glisser les deux bretelles le long des épaules, puis des bras que ma femme lui rend accessible.
    
    Il l'a découvre. Oh, pas en pleine lumière car j'ai veillé à ce que l'éclairage soit à la fois intime mais suffisant tout de même pour le mari cocu et voyeur que je suis.
    
    — Oh, tu es magnifique. Le noir te va si bien. Et ces bas, qu'elle bonne idée.
    
    — C'est mon mari qui…
    
    Marie se rend compte de sa faute.
    
    — C'est vrai, j'ai vu que tu es mariée.
    
    — Oui, mais il est en déplacement. Je voulais dire que mon mari apprécie beaucoup cette tenue. J'ai pensé que…
    
    — Je partage son gout…..Comme ...
    ... je vais partager sa femme.
    
    — Franck, voyons…
    
    Mais l'homme, sans quitter Marie des yeux, commence à défaire les boutons de sa chemise.
    
    Est-ce une impression mais Marie ne vient-elle pas de jeter un regard discret dans ma direction, alors qu'elle vient aider son amant ? Il est torse nu. C'est vrai qu'il est bien bâti.
    
    Il laisse maintenant ma femme se charger du pantalon, puis du shorty. Je remarque qu'il n'a pas mis de chaussettes dans ses mocassins. Vraiment ce gars me plait. Je suis persuadé qu'il a comme moi, mais dans un autre registre, planifié sa tenue. Rien de plus risible qu'un homme nu avec des chaussettes.
    
    Elle le prend en main. Déjà elle se développe. De là ou je suis, je la devine élégante, élancée, bien lisse, les couilles parfaitement symétriques. Elle ne peut que faire envie. "Même moi je n'y serais pas insensible", pensai-je aussitôt stupéfait d'une telle idée.
    
    — Suce-moi. Demande Franck.
    
    Marie n'est pas encore pleinement dans le jeu. Elle doit sentir mon regard comme une pression. En temps normal elle aurait déjà été à genoux pour pomper.
    
    Je ne vois bientôt plus qu'une chevelure. Juste par moment alors qu'elle libère le mandrin pour le lécher sur les côtés jusqu'aux couilles, la bitte réapparait. Mais très vite elle le reprend en bouche.
    
    Les cheveux me la cache mais je vois bien les mains du mec qui enserrent la tête pour la guider. J'entends aussi les soupirs de l'homme que l'on pompe.
    
    — Putain tu suces comme une reine.
    
    Quelques ...
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