1. 0207 Après l’amour et les câlins.


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... est incroyable… ».
    
    « Alors, t’avais des nouvelles de Paris ? ».
    
    « Non, rien pour l’instant… ».
    
    De retour à la maison après les courses, nous épluchons les pommes de terre et nous les mettons à cuire dans une casserole remplie d’eau, sur la gazinière à bois que Jérém vient d’allumer.
    
    Puis, nous nous allongeons sur le lit, devant le feu que Jérém vient de raviver, et nous nous embrassons fougueusement, longuement, inlassablement.
    
    Je suis insatiable du contact avec sa bouche, avec son corps, avec ses mains qui me caressent doucement, avec sa peau et ses cheveux que mes mains caressent fébrilement ; et mon bobrun semble tout aussi insatiable que moi.
    
    Tout en continuant à lui rouler des pelles à la pelle, je dégrafe le zip de son pull à capuche gris, je fais basculer les deux pans derrière ses épaules, je fais glisser les manches le long de ses bras ; son t-shirt blanc se dévoile, avec ces manchettes tendues qui calibrent ses biceps, avec ce tissu immaculé qui jauge le relief de ses pecs.
    
    Son sourire est à la fois doux et canaille lorsque je glisse mes mains entre le coton doux du t-shirt et sa peau tiède, pour aller exciter ses tétons : il devient coquin et un rien lubrique au fur et à mesure que l’excitation fait pétiller ses sens.
    
    Puis, c’est à son tour d’enlever mon pull, de passer sa main sur mon t-shirt, de narguer mes tétons à travers le coton. Je frissonne.
    
    « J’ai le droit ? » il me lance, taquin.
    
    « Je ne sais pas… ».
    
    « Et ça, j’ai le ...
    ... droit ? » fait le bogoss, tout en glissant sa main sous mon t-shirt, et en remontant lentement, sensuellement, ses doigts le long de mon torse.
    
    « Je ne sais vraiment pas… ».
    
    « J’ai toujours pas le droit ? » il me cherche, alors que ses doigts pincent doucement l’un de mes tétons.
    
    « Peut-être que oui… ».
    
    « Et, là… j’ai le droit ? » fait-il, le regard de plus en plus lubrique, tout en remontant mon t-shirt, en léchant et mordillant mes tétons à tour de rôle.
    
    « C’est pas un droit, c’est une obligation ! ».
    
    Un instant plus tard, Jérém dégrafe ma ceinture, il ouvre ma braguette.
    
    « Et là, je peux y aller ? » fait-il, coquin, tout en glissant sa main entre les pans ouverts de mon pantalon et en caressant ma queue par-dessus le boxer tendu par l’érection.
    
    « Oh, que oui… ».
    
    Je suis aux anges, les anges du bonheur sensuel et sexuel.
    
    Puis, sa main glisse dans mon boxer, elle saisit ma queue ; mon Jérém me branle, tout en m’embrassant, et en agaçant mes tétons avec le bout de ses doigts.
    
    Lorsque ses lèvres quittent les miennes, elles atterrissent directement sur ma queue, qu’il commence à pomper avec un bon entrain. Je regarde son torse musclé s’affairer dans des mouvements de va-et-vient, et je n’arrive toujours pas à croire que ce gars qui est en train de me sucer et le même gars qu’il n’y a pas si longtemps de ça n’assumait même pas son rôle de mâle actif et dominant dans notre relation ; alors, à fortiori, jamais je n’aurais cru il se lancerait un jour ...
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