1. 54-Sidi Abbas le grand cocufieur, était aussi cocufié :


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... problèmes par le passé. Ils sont mariés et leurs femmes, 35 et 40 ans travaillent au magasin. Et bien sur, elles sont passées sous le zob de Sidi Abbas avec le consentement silencieux de leurs maris. Surtout celle du gardien, ayant de gros seins et un cul de tonnerre et Sidi Abbas l’honore pratiquement tous les dix à quinze jours, au point de passé pour son vrai mari. Un vrai pacha, ce Sidi Abbas, un coq dans la basse cour.
    
    Quant Sidi Abbas travaillait simplement dans l’Entreprise mère, en Allemagne, comme il était un très beau mâle, il était devenu l’amant de plusieurs des employées, même mariées. Et un jour, l’une d’elles, Ingrid, devenue veuve, l’a prise totalement sous sa coupe. Et lorsque l’Entreprise a décidé d’ouvrir un magasin en Algérie, elle a usé de son influence pour nommer Sidi Abbas comme Directeur. Ensuite, n’acceptant pas de se séparer de lui, elle l’épousa et vint habiter avec lui en Algérie. Elle avait une fille Sabine, de son premier mari, âgée maintenant de 25 ans et qui habite avec elle dans la villa que Sidi Abbas a achetée en banlieue cossue de la capitale. Il a recruté une jeune fille Aicha, 25 ans, comme dame de compagnie pour sa femme et l’entretien, une autre plus âgée, Hana, veuve de 45 ans et sans enfant pour la cuisine, un vieux jardinier, veuf, Salem, âgé de 50 ans et son fils Tahar, 30 ans, comme hommes à tout faire. Tous logent dans des dépendances de la grande villa. Sa femme avait acheté une voiture pour ses besoins et ceux de sa fille. ...
    ... Il avait aussi une petite camionnette pour les achats et autres besoins de la villa, utilisée surtout par le jeune Tahar. Bien sur Sidi Abbas avait une belle Mercedes qu’il utilisait rarement et fermée au garage. Sidi Abbas préférait utiliser des taxis vers et de son bureau, c’était surtout pour voir une liberté totale, discrète, dans ses déplacements. Surtout que, souvent, c’était vers des maisons de ses maitresses ou des hôtels de passes. La famille de Sidi Abbas passait normalement son temps dans sa villa équipée de toutes les commodités domestiques et toutes les utilités électroniques, assiettes satellites et câble internet. Sidi Abbas passait le plus clair de son temps, soit au travail, soit à courir d’une maitresse à l’autre et quant il revenait chez lui, tard la nuit, parfois même pas, il ne s’occupait pas de sa famille. Il avait une confiance totale dans sa femme Ingrid qui décidait et gérait le tout dans la villa et il lui avait ouvert, à son nom, un compte bancaire bien crédité. Elle avait donc son chéquier pour toutes leurs dépenses.
    
    Mais ce que Sidi Abbas ne savait pas, c’est que tout le monde ne l’aimait pas chez lui et faisaient des tas de choses dans le secret. D’abord sa femme, Ingrid qui était délaissée. Avec le temps, elle a fini par succomber au plaisir sexuel et avoir des amants. Elle les draguait au marché mais souvent chez des amis communs étrangers. Ce sont les amantes d’étrangers qui lui font la confidence, alors elle se met dans les rangs, et va ...
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