1. 54-Sidi Abbas le grand cocufieur, était aussi cocufié :


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... gros zob puissant et amant obligatoire de toutes ses employées et de plusieurs de ses clientes, ne savait qu’il était aussi cocu, non seulement par sa femme et sa belle fille, mais par tous les employés femmes et hommes de sa villas. Le fait qu’Ingrid gérait le tout à sa manière et au plaisir de sa chatte et de son cul, le secret a été bien gardé. Et comme Si Abbas ne couchait pratiquement jamais avec sa femme, durant les mois de travail, il ne pouvait pas se rendre compte que la femme couchée à ses cotés avait la chatte et le cul encore badigeonnés du sperme de son amant étranger. Quant il prenait son petit déjeuner à la cuisine, avant de partir au travail, la aussi, il ne pouvait sentir l’odeur du mâle et du sperme du jardinier et de son fils sur les corps de la vielle cuisinière Hana et de la jeune Aicha. Il pensait juste à son bouleau et à ses futures amantes de la journée.
    
    Mais un jour, alors qu’il rentrait chez lui, à l’improviste, dans l’après midi, il trouva sa femme, attablée avec deux Allemands de la capitale, et heureusement, il les connaissait tous les deux. Aicha leur servait des boissons rafraichissantes et ils bavardaient simplement. L’un était adjoint directeur d’une succursale d’une Entreprise Allemande de matériel électrique et l’autre travaillait comme secrétaire à l’ambassade. Il s’assit avec eux et bavardèrent pendant une bonne heure, sans problème. Comme Si Abbas et sa femme savaient que ces deux étrangers vivaient en célibataires, ils les invitèrent ...
    ... pour le diner et la soirée. Après quelques refus polis et quelques coups de fils, les deux Allemands acceptèrent. La soirée et le diner, servi par Hania et Aicha, furent excellents et vers 23h, les Allemands partirent avec leurs voitures. Cependant, pendant la soirée, et malgré que Ingrid et sa fille étaient correctement habillées, Sidi Abbas avait constaté, avec son œil de dragueur de femmes, que le vêtement d’Ingrid se collait parfois sur son corps et que l’un des Allemand insistait pour bien l’observer. Le derrière d’Ingrid se profilait et on devinait les rondeurs de sa belle terma et il en était de même pour l’opulence de sa lourde poitrine. Si Abbas en était un peu secoué, mais ne disait rien. Et le lendemain, dans son bureau, il revit en tête, les scènes de la soirée, et ça le faisait bander. Donc, il se dit que les Allemands devaient aussi bander sur le corps de sa femme et il devint très jaloux. Certes, il n’avait pas de preuves mais il n’était plus tranquille. Dans la journée, il téléphona à Aicha pour voir qui était à la villa. Elle lui expliqua que sa femme était sortie depuis ce matin ainsi que sa fille et Tahar pour des provisions. Il retéléphona vers 15h et il obtint sa femme qui eu la bêtise de lui dire que leur ami de l’ambassade était présent pour les remercier de leur diner d’hier soir. Et Si Abbas eu immédiatement la puce à l’oreille et soupçonnait cet étranger d’être revenu pour draguer sa femme. Alors, il arrêta son travail et courut chez lui. A 15h30, il ...
«1...345...»