1. Mon Apocalypse à Moi 12


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... renseignait sur les rapports dans la maison, aidant à maintenir l'ordre. En plus, bien dressée, c'était un très bon coup, sachant quand être passive et quand prendre l'initiative. Elle se mit cambrée quand je la réveillais au milieu de la nuit. Je lui pris le cul vite fait, et elle n'émit pas un son, juste de profondes respirations, pour ne pas réveiller la maisonnée. Ce n'était pas la peine de la contraindre, elle acceptait tout sans jamais protester. Il fallait juste lui dire qu'elle était une bonne pute. Alors, elle se rengorgeait avec fierté. J'aurais bien aimé causer un peu avec ce Boban, il avait fait du super boulot.
    
    Je menais Fanny, qui titubait de fatigue, auprès de Séverine.
    
    -Alors? Demandais-je.
    
    -Il est prêt. Il y en a une qui a le sexe gonflé. Je l'ai isolé. Répondit la bergère.
    
    -Super.
    
    Je conduisis Tina dans un cadre de bois. Elle lançait des regards affolés dans tous les sens. Le bouc s'agitait de plus belle. Séverine frictionna le sexe de sa brebis avec une serviette éponge et fit de même sur le sexe de Tina. Le bouc fut amené derrière sa partenaire du jour et posa ses sabots sur le cadre en bois. Tina hurlait de terreur, puis de douleur lorsque ...
    ... l'animal commença l'accouplement. Le bouc n'est pas un amant endurant, mais le sexe de Tania dégoulinait d'une substance crémeuse.
    
    Je fis faire le tour du hameau à Tina, qui pleurait toujours. Je lui fis boire une petite bouteille d'eau. Puis la ramenais à l'enclos des moutons, elle voulut résister, mais, de l'Aiguillon électrique je la plaçais dans le cadre. Cette fois ci, le bouc n'eut pas besoin d'un guide olfactif. Il s'accoupla tout de suite. Séverine me souffla que le bouc pourrait baiser jusqu'à épuisement, mais que c'était mauvais pour lui. Je ramenais Tina dehors. Suzy approchait. Je laissais la chienne la nettoyer, ce qui ajoutait encore à l'humiliation, car Tina passait de grands coups de langue gourmands.
    
    Je menais notre poney en devenir jusqu'à son écurie. Là, je lui posais ses rênes, avec des anneaux prit dans le anneaux qui dépassaient de sa bouche. Je lui enlevais son bâillon. Elle bredouillait des mots sans suite. Je consacrais l'après midi à Ernesto, qui avoua m'en avoir d'abord voulu avant de comprendre que je voulais que tout se passe au mieux.
    
    -C'est bien. Dis-je, et je lui posais sa tête sur mon épaule.
    
    Je sentis son soulagement. Je compris. 
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