1. Mon Apocalypse à Moi 12


    Datte: 13/12/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    12
    
    J' attachais Tania solidement. Il ne fallait pas qu'elle bouge. C'était Sylvie qui m'avait donné l'idée. À présent que la monture des enfants trottait correctement, il lui fallait des rênes. Un mors était compliqué à fabriquer. J'en avais bien vu,avant, quand internet fonctionnait encore, mais le réseau ne marchait plus, et les commandes devaient avoir du mal à arriver. L'idée de Sylvie était toute simple. Fixer des oeillets derrière les commissures des lèvres de Tania et y passer des anneaux. Ainsi, le risque de déchirure était limité, et diriger possible. Maria avait cousu une selle, en cuir, avec des sangles ventrales serrables pour y asseoir le cavalier. Des étriers souples complétaient le harnachement. Pour la tête, un ensemble de lanières feraient le job. Depuis un mois que je la dressais, Tania commençait à bien obéir. Mais elle était toujours contrainte. Malgré les coups, les viols, les courses au bout de la longe et le fait de dormir dans le foin souillé de ses déjections, Tania était encore humaine. Elle n'avait pas le regard vide de Suzy, qui ne se comportait pas comme une chienne, mais était une chienne. Avec un corps de femme. Je ne pouvais pas laisser les enfants jouer avec une créature qui risquait de se révolter. Il fallait briser son esprit pour en reconstruire un autre. En attendant, je plaçais la pince à deux centimètres derrière la commissure gauche. J'appuyais et un cri hystérique sortit de la gorge de Tania. Je retirais la pince. Un peu de sang ...
    ... coulait, mais l'oeillet était en place. Lorsque j'approchais la pince de la commissure droite, elle tira de toutes ses forces vers l'arrière. Mais elle était solidement liée et j'introduisis l'outil. Le second oeillet fut fixé. Elle hurlait sa douleur sans discontinuer, tentant d'agiter la tête pour se soustraire à la souffrance. Passer les anneaux par les commissures fut un jeu d'enfant. Je les sertis d'un léger coup de marteau.
    
    Pris d'une inspiration subite, je lui enlevais l'anneau qui lui tenait la bouche ouverte.
    
    -Pitié. Gémit elle.
    
    -Enfin, Tania, tu es agaçante, répondis-je. Tu es un poney. Je t'entraîne sans arrêt depuis des semaines, et tu continues à faire ta mauvaise tête.
    
    -Je fais tout ce que voulez.
    
    -Mais pas de ton plein gré. C'est toujours une contrainte. Regardes Suzy, elle est contente,elle. Je vais essayer autre chose.
    
    Je l'attachais dans son écurie, très serrée de nouveau. Et la bloquait à quatre pattes. Le soir, je regardais, dans ma chambre, ce que ma caméra espion avait enregistré.Cela ressemblait à de petits jeux de chiens vicieux, mais c'était une sévère violation de la règle première; on ne touche pas aux enfants.
    
    Et en plus, c'était un abus de pouvoir. Je donnais le pouvoir. Je donnais les privilèges. Je distribuais récompenses et sanctions. Et là, ça allait piquer. Je descendis rapidement. Les filles se tournèrent vers moi avec surprise. Elles étaient en train de préparer la pièce pour la nuit. Les matelas occupaient déjà une grande ...
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