La première nuit
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
fépilée,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
glaçon,
Auteur: Dominique, Source: Revebebe
... laissa glisser sur moi, ses deux seins aux pointes tendues s’écrasant doucement sur ma poitrine. Elle m’embrassa à m’étouffer, ses mains m’enlaçant la nuque.
Toujours soudés l’un à l’autre, nous basculâmes sur le côté, épuisés par cette longue et douce cavalcade, et d’un seul coup, nous endormîmes, repus…
Non, je ne rêvais pas, j’entendais bien Polnareff. Je sentis contre mon ventre deux fesses chaudes et fermes qui commençaient à bouger. Un de mes bras enserra une taille, la main qui le prolongeait caressa un ventre plat pendant qu’une tête se nichait au creux de l’autre bras…
— Dominique ?
— Oui ?
— Réveille-toi, il est tard : mon mari ne va pas tarder à rentrer !
— Oh merde, déjà ?
— Il est quatre heures. Il arrive vers cinq heures et demie. J’avais mis le réveil pour qu’on ne se laisse pas surprendre.
— Tu as bien fait, ma belle. Je crois que j’ai eu une petite fatigue !
— Tu n’es pas le seul, tu m’as tuée !
— Flatteuse ! Qu’est-ce que je devrais dire ?
— Rien… Par contre tu devrais faire !
— … ?
— Recommencer ce que tu as si bien fait tout à l’heure…
Joignant le geste à la parole, elle prit ma main et la glissa de son ventre à son petit buisson, l’emmenant vers son sexe que je sentis de nouveau humide, ondulant en même temps ses fesses au creux de mon ventre, ce qui me fit bander rapidement.
J’avais encore envie de cette femme qui m’avait tout donné sans réfléchir, sans fausse pudeur, qui avait su me faire jouir tout en jouissant elle-même, me ...
... donnant plus que son intimité, s’offrant à mes caresses, à ma queue, à ma bouche, le tout sans aucune retenue.
Lentement, elle se retourna, se mit sur le dos, glissa un oreiller sous ses reins, écarta lentement ses jambes, me dévoilant son sexe déjà luisant de son jus, aux lèvres bien ourlées, son clitoris gorgé de sang et déjà saillant…
— Viens, dit-elle. Viens, j’ai encore envie de toi !
Doucement, je me glissai entre ses jambes, entrai dans son sexe bouillant et m’enfonçai en elle. Ma queue cognait au fond de son intimité, tout de suite enserrée par ses muscles vaginaux.
Caroline poussa un long soupir, enserra et noua ses jambes autour de mes reins. Ses bras m’enlacèrent, m’emprisonnèrent. Ses seins aux pointes tendues s’écrasaient sur ma poitrine. Elle m’embrassa avec douceur, sa langue s’insinuant entre mes lèvres, et elle commença à faire onduler ses hanches.
Après les rythmes endiablés de nos ébats passés, nos corps avaient besoin de tendresse, d’apaisement, pas de longues et brusques chevauchées, mais de douceur, de lenteur.
Je pris un plaisir fou à la pénétrer lentement, à me retirer en douceur, luttant contre ses muscles intimes qui ne voulaient pas lâcher mon sexe qui, sous la pression, grossissait, envahissant son ventre, épousant toutes ses parois intimes.
Nous étions toujours soudés l’un à l’autre, juste animés par ce doux et lent va-et-vient quand je sentis Caroline se tendre, ses jambes se verrouillant autour de mes reins, ses ongles me ...