1. La première nuit


    Datte: 13/12/2020, Catégories: fh, hbi, fépilée, pénétratio, fdanus, fsodo, glaçon, Auteur: Dominique, Source: Revebebe

    ... aussi bon…
    — …
    — Maintenant… Fais-moi jouir, fais-toi jouir !
    
    Lentement, j’entamai un doux va-et-vient dans ses reins, qui se cambrèrent de plus en plus sous mes poussées. Elle se mit sur un avant-bras, les fesses relevées. Sa main partit vers sa chatte et lui donna du plaisir tandis que je lui pilonnais le cul. Durant de longues minutes, je la pénétrai ainsi, mélangeant les va-et-vient lents et les coups de boutoir qui lui arrachaient des petits cris. Sa main allait de plus en plus vite sur et au travers des lèvres de son sexe, caressant de ses doigts trempés de son jus mes couilles qui cognaient contre ses fesses ouvertes.
    
    Sentant mon plaisir monter, je ressortis de ses reins, glissai ma queue raide dans sa chatte trempée, m’enfonçai violemment en elle, crochant mes mains à ses hanches. D’un seul coup, je me vidai à grandes giclées dans ce sexe chaud et humide, sentant le corps de Caroline se contracter, puis se détendre pendant qu’une longue plainte rauque sortait du fond de sa gorge, se transformant en un feulement doux et profond, puis en un long soupir.
    
    Sans un mot, quelques instants plus tard, nos corps basculèrent sur le côté, restant emboîtés l’un dans l’autre, voulant savourer cette fusion. Puis ma queue perdit rapidement de sa vigueur, nos sexes se séparèrent. Caroline vint se blottir dans mes bras, se lova au creux de mon corps, effleurant du bout des ses lèvres la pointe d’un de mes seins, m’administra un long baiser, et me susurra à l’oreille :
    
    — ...
    ... Merci Dominique…
    — Mais de quoi ?
    — De me donner autant de plaisir… Je n’ai jamais eu autant d’orgasmes en si peu de temps !
    — Je n’y suis pour rien, le terrain est propice.
    — Peut-être, mais tu sais réveiller en moi ce plaisir que j’avais oublié depuis longtemps.
    — Ma pauvre, je te plains…
    — Ma seule consolation, ce sont mes plaisirs semi-solitaires… Mais une vraie queue me manque !
    
    Et de m’avouer que depuis deux ans, elle se livrait, seule, le soir dans son lit, à ses doigts et à quelques sex-toys qu’elle avait achetés sur Internet, mais que rien ne valait le plaisir à deux.
    
    — Je te choque avec mes délires de femme en chaleur !
    — Pas du tout, j’admire ta franchise, et surtout ta manière de régler tes problèmes…
    — Mais toi, ça ne doit pas te manquer. Tu es seul, tu peux en profiter.
    — C’est vrai, mais je ne cherche pas à forcer le destin.
    — Huuuum ! Au moins, ça a le mérite d’être clair, je ne suis pas la seule ?
    
    Je ne voulais pas trop la choquer, et surtout de ce fait, la perdre. Je ne pouvais donc pas tout lui dire tout de suite : mes habitudes sur certaines plages du littoral où le nudisme se transforme souvent en partie de cul dans les dunes ou dans les bois jouxtant les plages ; mes sorties et rencontres dans les saunas mixtes ou homos de notre grande ville ; les rencontres dans un club privé fréquenté par des travestis… Je préférais lui cacher pour l’instant ce côté de mon personnage, et lui en parler progressivement pour voir si elle adhérerait à mes ...
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