Terma 36 : Ma femme et les ouvriers africains (2) :
Datte: 11/12/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Noura, Source: Hds
... crois que cette femme n’était pas à ses premiers amants et qu’elle a du donner des cornes à son mari depuis très longtemps. Ainsi, je comprenais, encore mieux, sa complicité de partager, avec ma femme, les zobs de ses amants africains et son acceptation rapide à ma demande de la baiser.
Puis je suis allé voir mes parents à l’hacienda pour les aider dans les préparatifs, pendant une heure jusqu’à 14h30.
Mais vers 15h, la pensée de cette femme ne me quittait plus. Certes, elle était belle et demain je pourrais toujours jouir de son corps, mais j’étais obsédé par ce qu’elle faisait maintenant. Il était 15h et je savais que, depuis une heure, les deux femmes étaient en train de niquer fort avec mes deux africains et je voulais voir comment cela se passait et surtout comment ma nouvelle amante se comportait avec les deux hommes. Je n’étais pas jaloux mais excité d’une façon bizarre qui faisait bander mon zob et me donnait du plaisir dans mon bas ventre.
Alors, j’ai quitté le travail et je suis retourné au studio. Au lieu de cogner à la porte et risquer de les avertir, car ils étaient certainement en pleine action, je suis passé par la fenêtre, toujours ouverte (le loquet était rouillé) de la cuisine. Puis, je me suis glissé doucement vers la chambre dont la porte était entrouverte. Ils savaient tous qu’ils étaient seuls dans le studio. C’est alors que je les ai vus, les quatre en train de baiser.
L’homme était allongé sur le lit et ma belle et merveilleuse parente ...
... était assise sur son zob debout et faisait des vas et viens avec sa chatte. Sa large Terma était juste en face de la porte et me donnait des frissons et par-dessous, le zob entrait et sortait dans sa chatte ouverte comme unen bouche affamée. Elle dansait sur son zob que je distinguais parfaitement dans toute sa longueur et sa largeur. Le zob lui ouvrait la chatte qui dégoulinait sson jus de plaisir de part et d’autre et faisait briller le zob de l’africain. Elle se tortillait sur le gros zob épais en criant son plaisir à haute voix.
Elle faisait des vas et viens verticaux puis des balancements droite et gauche. Elle semblait déchainée et cela me confirmait qu’elle adorait le sexe africain, long et épais. J’étais sûr, maintenant, que les ouvriers africains connaissaient la chatte et la Terma de ma parente depuis longtemps et c’est pourquoi elle m’avait, immédiatement, proposé, pour baiser, dans les écuries tout près des ouvriers agricoles africains. Elle devait être habituée de ces lieux pour se faire lustrer la chatte et la Terma par les ouvriers, aux gros zobs si excitants pour une femme affamée de sexe, et c’était son cas. Je n’ose pas penser au cas où ma parente proposerait à ma femme d’aller baiser avec les ouvriers aux écuries. A cette pensée, j’ai eu un gros frisson de tout le corps, de plaisir ou de peur, je ne sais pas. Soudain, ma parente, sur le zob de l’homme, poussa un crié hystérique. Elle venait d’avoir un grand orgasme et s’est effondrée sur le torse de son ...