Terma 36 : Ma femme et les ouvriers africains (2) :
Datte: 11/12/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Noura, Source: Hds
... placé derrière elle, et presque aussitôt, mon doigt qui était allé vérifié son cul, s’est glissé totalement dans son anus. Il était chaud et élastique et prêt au plisir du zob. Elle avait compris que je désirais sa Terma, après avoir gouté sa chatte. Tenant mon zob à la main, je l’ai poussé dans son anus et il s’est engouffré comme dans du beurre, tellement, sa Terma était ouverte.
Son cul s’ouvrait tellement avec facilité que je l’ai soupçonnée. Elle était certainement amatrice de sodomies, bien avant moi et cette Terma a tellement gouté et mangé de zobs de grosses tailles qu’elle s’ouvrait avec facilité à mon sexe. Tant mieux pour elle, et tant pis pour son vieux mari. Moi, pour l’instant, je prenais mon plaisir par une quinzaine de vas et viens en m’accrochant à ses larges hanches charnues,
J’étais aux anges, dans cette chair douce et chaude à la fois, vivante et me donnant de plus en plus de frissons dans le bas ventre. Je me retenais pour ne pas éjaculer trop vite car l’image même que ce corps merveilleux devant moi, était un plaisir dont je voulais retarder la séparation. Je repensais aux deux africains et peut être à bien d’autres hommes qui avaient désirés et donnés du plaisir à cette femme. Ils ont entre leurs mains ce corps fait pour le plaisir et leurs zobs l’ont labouré par devant et par derrière à merci.
Enfin, le plaisir montait de mes couilles et je ne pouvais plus le retenir plus longtemps. Alors, j’ai tout lâché. Ce fut une forte éjaculation bien ...
... meilleures que la première, de quatre ou cinq salves et qui m’a fait presque hurler de jouissances. Il est vrai qu’elle avait surtout une Terma plus large et plus belle que celle de ma femme mais surtout, plus ouverte, donc aisément bandante.
Pendant que je baisais la femme dans mon lit, les deux africains travaillaient. Le domestique était à la cuisine et le peintre, dehors sur son échelle. Ils ont beaucoup vu et tout entendu, mais ils n’ont pas soufflé un mot ou jeté un regard anormal. Ils ont du trouver nos comportements naturels pour les plaisirs sexuels et attendaient leur tour, dans une heure, pour satisfaire leurs zobs dans nos deux femmes. La femme que je baisais et qui circulait à poil dans le studio, ils l’a connaissent déjà, de corps externe et interne, de plaisrs charnels et fantasmes. Elle sera à eux, dans quelques heures et leurs zobs étaient toujours prêt à l’ouvrage.
Après mon éjaculation, nous sommes allés nous nettoyer dans la salle de bain, puis on s’est rhabillé. Ne connaissant exactement son nom, mais celui de son mari, elle m’a dit de l’appeler « zouzou », son prénom secret des plaisirs africains, puis on a quitté le studio à 13h en se donnant rendez vous le lendemain à 11h.
Je suis allé me reposer un peu plus loin, dans la verdure, pas très loin de l’hacienda et je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à cette femme. Je revoyais surtout sa Terma très bien ouverte et sa chatte longue et brulante et assez facile à pénétrer. Sachant la santé du mari, je ...