A la recherche du plaisir (8) - Histoires de Sexe

A la recherche du plaisir (8)

... amie.

— Maman, tu entends ce que tu me demandes ?

— Je ne te demande pas de prendre du plaisir, je te demande de lui en donner. Va te coucher, et dans une heure, si elle dort profondément, tu reviendras me rejoindre.

Victoire, Pierre se lève, enfin, et se rend dans sa chambre, pendant ce temps, je débarrasse la table, contente de mon petit complot avec Sylvie.

Je m’assieds sur le canapé et allume la télé pour me changer les idées. Mais mon esprit est parti dans la chambre de mon fils, j’aimerais être une petite souris pour voir comment cela se passe. Après plusieurs minutes, je commence à entendre des gémissements de la part de Sylvie, gémissements qui ne tardent pas à se transformer en cris. Elle a une voix qui porte, et se laisse complètement aller. En l’écoutant, les images passent devant moi, et je vois Pierre s’affairer sur le petit corps de ma collègue; je pense à son sexe complètement épilé que j’ai caressé et embrassé hier. Le mien commence à dégouliner, je ne tiens plus en place, je commence à être jalouse, je veux ma part aussi.

J’ouvre la porte de la chambre et vois Sylvie à quatre pattes sur le lit, les seins s’agitant dans tous les sens, Pierre derrière, fier, en train de la limer.

— Je vous entends depuis plusieurs minutes et vous m’excitez, je ne peux pas rester toute seule.

— Viens me voir, je vais te soulager.

Je ne me fais pas prier. J’enlève le haut et le bas et me retrouve nue face à Sylvie; je m’approche, pose un pied sur le lit ...

... et présente ma touffe bien entretenue à sa bouche. Sa langue est différente de celle de mon fils : plus épaisse, plus large et plus agile. D’un coup, elle me prend les lèvres sur toutes leurs longueurs, ma fleur s’ouvre, et sa langue me pénètre et remonte délicatement exciter mon clitoris. J’aime cette excitation douce, mon corps en transe se tend, mes nerfs sont à fleur de peau. Mon fils va jouir, je reprends mes esprits, je veux son jus dans ma bouche, je me jette sur le dos sous Sylvie, la tête vers le vagin encore rempli par la verge de Pierre. C’est un très beau spectacle pour moi de voir le membre de mon fils coulisser dans le trou au milieu des lèvres grandes ouvertes, les testicules percutant le pubis. Le mouvement devient plus lent et plus violent, le phallus ressortant avec de la crème blanche autour.

Le pénis sort complètement de sa tanière, bouche ouverte, je récupère la semence qui commence à s’échapper de la grotte. Le jus tombe par paquet, s’écoule sur ma langue et se répand dans ma gorge. Je lèche l’intérieur intime de ma collègue pour tout prendre et ne rien laisser.

Sylvie vient me rejoindre, m’embrasse, attirée par l’odeur du sperme, en faisant tourner sa langue dans ma bouche et récupère du jus de mon fils. Nous continuons, et nous entrelaçons; nous nous caressons. Nous nous mettons tête-bêche pour nous donner du plaisir mutuel avec notre bouche. Nous oublions Pierre qui nous regarde assis sur un fauteuil. Sylvie part chercher un objet que je n’ai ...