A la recherche du plaisir (8)
Datte: 11/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: normand14, Source: Xstory
... se cambre, et il ensemence mon ventre.
Ce matin, je suis seule debout, Pierre traîne au lit, il n’a pas apprécié que je le revoie dans sa chambre après nos ébats. Je m’active au ménage, j’ai énormément de retard, et je prépare le déjeuner. Je veux faire plaisir à mon fils et cuisine une poule au blanc, son plat préféré. Il se lève juste pour se mettre à table. Il me dit qu’il n’est pas content de ne pouvoir rester avec moi et devoir aller faire une bricole pour Sylvie. J’essaye de le rassurer en pensant en moi-même que si ma collègue lui prépare une aussi bonne surprise que pour moi, il passera un bon après-midi.
Une fois parti, je reprends l’aspirateur et le plumeau. Le téléphone retentit au bout d’une petite heure, c’est Sylvie.
— Allo Marie ? Ton fils est incroyable, je n’ai jamais vu cela. J’ai sorti le grand jeu, et la seule chose qu’il a trouvée à dire c’est « je veux rester fidèle à mon pucelage » ahurissant !
— Il est jeune encore, mais c’est dommage; j’avais grand espoir pour que tu le dévergondes; qu’il se décide à regarder autour de lui.
— C’est certain qu’il en a grand besoin.
— Ecoute ! Viens manger à la maison, et on retente l’expérience, je serais à tes côtés, et t’aiderais à le décider. Je suis sûre qu’il succombera.
— Comment ?
— Nous dînons, et à la fin du repas tu prétextes n’être pas très bien, tu as besoin de te reposer et tu vas te coucher dans le lit de Pierre. Il faudra bien qu’il te rejoigne, je lui interdirai de dormir avec ...
... moi. Je parlerai avec lui, « tu es seule, sans homme, tes hormones te travaillent. »
— Hé, là-dessus, tu en connais un rayon. J’espère que cela marchera, je ne veux pas avoir un deuxième vent.
— T’inquiète, à ce soir.
Je n’ai pas beaucoup de cuisines à faire, le reste du plat de ce midi va suffire, Pierre en a peu mangé; une glace au dessert et il ne me reste plus qu’à faire des crudités en entrée. Mon ménage terminé, la table mise, je n’ai pas le temps de me changer, je suis avec un sweat à fleur de peau et en pantalon de jogging lorsque Pierre et Sylvie arrivent. Je constate que la figure de Pierre n’est pas des plus joyeuses, j’espère que je ne me suis pas trompée. Je passe le dîner à discuter avec ma collègue alors que mon fils a une tête des mauvais jours. Comme prévu, Sylvie prétexte qu’elle n’est pas bien et veut s’allonger parce qu’elle a trop bu.
— Elle n’a pas bu une goutte d’alcool ce soir.
C’est vrai, je ne comprends pas pourquoi elle a rajouté cela, tout notre plan va capoter
— Cette après-midi, elle m’a dragué ouvertement.
— Les femmes, quelquefois, ont des besoins comme les hommes.
Je sens que la partie ne va pas être facile
— OK, qu’elle sorte dans la rue et qu’elle s’en trouve un. Je suis content quand même, car ce soir, je vais dormir avec toi.
— Non, on ne déroge pas à ce que l’on a dit, chacun dort dans sa chambre.
— Sylvie va me sauter dessus.
— S’il te plaît, ne la repousse pas, c’est une collègue, mais surtout une ...