1. Vacances de Pâques


    Datte: 11/12/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, jeunes, vacances, forêt, campagne, train, amour, revede, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, init, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... agréable hommage à Priape. Mais bientôt elle l’entraîne dans la cabane. Stéphane et Sophie les suivent.
    
    — On sera mieux à l’abri. David, ta chemise.
    
    Il l’étale sur le sol. Liliane s’y couche en soupirant d’aise, les jambes ouvertes.
    
    — Viens, David. Tout de suite.
    — Mais vous m’avez trahie, tous les deux… pleurniche Sophie.
    
    Stéphane la reprend dans ses bras, ôte son soutien-gorge sans qu’elle tente de s’y opposer et suce goulûment ses seins, pendant qu’il fait descendre son slip. Fébrile, le Stéphane, sûr de son affaire ! Il est très vite à genoux, lui aussi, ses lèvres appliquées contre le minou de Sophie qui, les bras ballants, ne bouge pas. Une statue de sel. Doucement, Stéphane la couche sur le sol, lui écarte les cuisses. Pourvu qu’il pense au moins à mettre un préservatif, pense David. Lui, il en a mis un. Rose.
    
    — Mais je veux pas, mais je veux pas, crie soudain Sophie, qui tente de se relever. Stéphane, c’est pas toi que j’aime. Je t’aime pas, Stéphane. Non, je veux pas, je veux pas !
    
    Elle se débat, se tortille, referme les cuisses, pendant que David ne cesse pas son mouvement profond dans le vagin de Liliane. Stéphane se relève, déjà tout mou.
    
    — C’est la première fois que ça m’arrive, c’est de ta faute. On se rattrapera la prochaine fois.
    
    Sophie le regarde, glaciale :
    
    — Il n’y aura pas de prochaine fois. Jamais.
    
    Le retour est morose. Silencieux.
    
    * * * * *
    
    Silencieux, sur son vélo, David avance. Mais le crachotement d’une mobylette ...
    ... l’avertit que Liliane va le rattraper.
    
    — David, je t’ai vu partir. Il faut que je te parle. Suis-moi jusqu’à la garde Bonnet.
    
    Le précédant, elle crie qu’il est vraiment un très sale type, et s’arrête au bord du petit bois de pins, à l’endroit où il était avec Sophie, quelques jours avant.
    
    — On te voit plus, tu te caches, tu as honte ? La pauvre Sophie est dans un état !… Hier matin, elle n’est pas sortie de chez elle. L’après-midi, j’ai demandé à sa mère si je pouvais la voir. Elle m’a répondu qu’elle savait pas ce qu’elle avait mais que se promener avec moi pouvait pas lui faire de mal. Elle l’a appelée. Sophie a fini par descendre, nous sommes venues ici, à pied, en parlant.
    
    Qu’est-ce qu’elle m’a passé ! Que j’étais une vraie salope, que je lui avais piqué son David, que mon frère avait voulu la violer, et patin couffin… Elle m’a montré cet endroit en me disant que c’était ici qu’elle est venue avec toi, quand j’étais en ville avec ma mère, et qu’elle te détestait. Je crois qu’elle est vraiment très amoureuse de toi, David.
    
    J’ai cherché à la consoler, je lui ai demandé pardon, je lui ai dit que tu allais partir et qu’il fallait pas rester fâchées, elle et moi… Je l’embrassais. On pleurait toutes les deux. Tu te doutes bien comment ça pouvait se terminer. Elle me disait que tu lui avais léché le minou, aspiré le petit bouton, que moi aussi je le faisais pas trop mal, mais avec toi… Oh ! avec toi !.. Ça devenait vexant, à la fin. J’ai cru bien faire en disant ...