Vacances de Pâques - Histoires de Sexe

Vacances de Pâques

... dit que la prochaine fois : "Pas demain, je vais en ville avec ma mère, mais après-demain"… il faudra trouver un coin plus discret, mais que Sophie ne va pas vouloir leur lâcher les baskets et que la vie est bien compliquée.

A Camineaux, Sophie demande à David où il était passé. Elle lui dit aussi qu’elle n’a pas vu Liliane de toute la matinée et que, la barbe, il faut qu’elle descende en ville avec sa mère, dans l’après-midi. Alors David se promène, tranquille, sur sa bécane.

Le lendemain, Sophie lui annonce qu’ils seront seuls. Il fait semblant d’être surpris.

— On se promène quand même tous les deux, hein, David ?
— Bien sûr, ma petite Sophie, bien sûr.
— Je t’emmène sur mon scooter ?
— Avec ton casque tu ressembles à un insecte terrifiant, capable de me dévorer tout cru. Et moi, je n’ai pas de casque. On pourrait marcher, tout simplement.
— Bon, si tu veux…

Dans le petit bois, il est assis sur la mousse, le dos appuyé contre un pin. À genoux, elle lui a écarté les jambes et s’est installée entre ses cuisses, assise sur ses talons. Elle lui présente ses lèvres, déboutonne son corsage et offre ses seins.

— J’ai pas mis de soutien-gorge, pour que ce soit plus pratique. D’ailleurs, on peut pas dire que j’en aie vraiment besoin : ils sont si petits. Caresse-les, ça les fera grossir. Ils te plaisent quand même ?
— Beaucoup, Sophie.
— Oh ! oui ! j’adore quand tu les embrasses. Pas trop fort, quand même… Dis, tu me lécheras le minou, comme avant-hier ?
— ...

... Bien entendu. Mais qu’est-ce que tu me feras, toi ?
— Tout ce que tu voudras. Pas l’amour quand même. Je me réserve pour le Grand Amour. J’ai tort ?
— Oh ! Sûr que non ! J’attendrai un peu, que tu sois déçue…
— Méchant !

A nouveau ses lèvres. Puis elle déboutonne le short de David, se heurte à l’obstacle du slip. Elle touche un peu, en silence, le souffle court.

— David, c’est la première fois, aide-moi un peu.
— Il faudrait trouver un endroit plus discret.
— C’est ta faute, quand même, tu n’as pas voulu aller dans la carrière.

Pas loin, de jeunes pins qui ont été plantés dans un ancien champ forment une cachette idéale. Ils s’y glissent. Elle s’allonge sur la chemise de David. Leurs lèvres sont bientôt gonflées par le grand nombre de baisers donnés et reçus. Il ne touche pas au minou qui reste sous le short. Pas encore. Mais c’est elle qui commence à le déboutonner.

— Comme avant-hier, David, s’il te plait…
— Continue d’abord ce que tu avais commencé tout à l’heure.
— Mais enlève donc tout ça !

Il enlève short et slip. Rouge et haletante, elle regarde, touche, soupèse, serre un peu. Il lui montre qu’il faut monter et descendre, en emprisonnant fermement. Elle comprend vite. Elle fait peut-être un peu semblant d’être novice. Bientôt, elle soulève gentiment les fesses pour que son short et son slip puissent s’enlever. David se penche sur le minou humide, dont il écarte les lèvres roses, de deux doigts délicats. Le voici couché contre elle, la langue sur son ...