1. Caroline et la famille (6)


    Datte: 10/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Caroline1992, Source: Xstory

    ... accepter de lui faire des fellations quand ça l’enchantera. On aurait dit qu’il était aux anges et qu’il avait attendu cet instant depuis un bon moment.
    
    Mon père trouva le moyen de briser le silence en me disant des mots désobligeants :
    
    — Tu aurais dû me le dire plutôt que tu voulais me sucer. Je n’aurais jamais essayé d’aller plus loin avec toi.
    
    Je savais sur l’instant que mon père me prenait pour une conne, mais il est vrai que je préférais accepter l’idée que je suce mon père que de me faire baiser par lui. Je ne voyais pas l’acte de la fellation comme tout le monde. Je dirais même qu’il s’agit d’un acte totalement banal me concernant, mais ça, mon père ne le savait pas.
    
    Juste après la mort de ma mère, comme tout le monde après un décès, on tente de se retrouver soi-même, ou alors on part à la dérive. Pour ma part, ce fut un peu le cas des deux. A la Faculté où je suis actuellement, il y a des mecs qui ont fait des « GloryHoles » dans les toilettes pour hommes. Il s’agit de trous faits dans les murs où les hommes passent leurs pénis dedans dans le but ...
    ... que quelqu’un les suce. Ce qui me plaisait, c’était le côté anonyme, même si parfois on me voyait entrer dans les toilettes et que certains faisaient même la queue pour que je les suce. Les sucer ne me procurait pas de plaisir, mais cela me permettait d’oublier ma mère. En major partie du temps, je ne savais jamais qui je suçais derrière le mur, même si je savais des rumeurs que certains professeurs venaient se faire sucer par moi. On me respectait.
    
    Aujourd’hui, même si je dois sucer mon père, ça ne sera pas une fin en soi. J’ai fait bien pire et des choses bien plus immorales que ça.
    
    En repensant à tout cela, j’en avais presque oublié mon père qui secouait sa main dans son jogging tout en m’observant. Je m’exécutai sans plus tarder en me mettant à genoux pieds joints devant lui et lui descendit son jogging à ses pieds. Avant même que je ne lève ma tête, je l’entendis me dire encore ce mot si humiliant :
    
    — SALOPE !
    
    Ce mot résonna dans toute ma tête comme une massue et me braqua entièrement. J’avais honte de me retrouver à genoux devant la queue de mon père. 
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