1. Caroline et la famille (6)


    Datte: 10/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Caroline1992, Source: Xstory

    ... :
    
    — Caroline ! Caroline ! Caroline !...
    
    Puis il dit en élevant la voix :
    
    — Tu as un magnifique gros cul ma parole !
    
    Il est vrai qu’étant complexé par la taille démesurée de mes hanches par rapport à d’autres filles de mon âge, je portais toujours des bas très moulants afin de contenir mes fesses quitte à en avoir mal au ventre parfois. Néanmoins, à l’écouter, c’était comme s’il ne les avaient pas vus le soir d’avant.
    
    Toujours en lui tournant le dos et avant même qu’il ne me donne d’autres directives aussi rabaissantes, j’ai pris la décision de lui dire des mots en sachant pertinemment sa réponse afin de lancer une conversation entre nous :
    
    — Papa !... Je peux aller me rhabiller maintenant ?
    
    — Non ! Je suis loin d’en avoir fini avec toi.
    
    — Qu’est-ce que tu attends de moi, Papa ?
    
    — Hum... Que penses-tu que j’attende de toi ?
    
    Je mise du temps à répondre à sa question, mais le courage me vint de lui répondre :
    
    — Que je couche avec toi !
    
    — Tu vois que sous tes faux airs, tu n’es pas si bête !? me dit-il en rigolant.
    
    Son rire moqueur m’insupportait à un tel point que je finis par me retourner et par le regarder droit dans les yeux. J’étais à la fois rouge de honte et rouge de colère du fait de voir comment il me considérait. D’un ton très expressif et sûr de moi, je lui dis :
    
    — Ça... ça n’arrivera jamais ! Il est hors de question que je couche avec toi,... Mon père !
    
    — Oh que si ! répliqua-t-il en secouant son téléphone devant ...
    ... moi.
    
    Son chantage devenait oppressant et j’avais l’impression d’être tenue en laisse. J’étais consciente que je ne pouvais rien faire sans qu’il me rappelle a l’ordre avec ses menaces. C’est pour cette raison qu’il fallait que je prenne vite les devants pour minimiser mon calvaire et je lui dis :
    
    — Il y a peut-être moyen de s’arranger, non ?
    
    — Ça dépend. Que me proposes-tu ? dit-il.
    
    Je pris ma respiration d’un bon coup et je finis par lui dire :
    
    — Je suis prête à te faire une pipe si tu veux.
    
    — Oh !
    
    C’est le seul mot qui est sorti de sa bouche. Il avait fait comme s’il était choqué de ce que je venais de lui dire alors qu’il s’attendait sûrement que je lui propose ce genre d’acte au vu de la tournure de notre conversation. Mon père baissa les yeux et regarda mon corps en commençant par mes pieds, et en marquant un temps d’arrêt au niveau de mes hanches et de ma poitrine. Il finit par me regarder dans les yeux et à me dire :
    
    — Ça va être difficile de résister avec un tel corps, mais pourquoi pas. J’accepte sous condition évidemment.
    
    — Quelle condition ? lui demandais-je aussitôt.
    
    — Que tu me suces à chaque fois que j’en aurais envie et quel que soit le lieu.
    
    Un silence remplit la pièce et après un court instant, je me rendis compte que c’était la meilleure solution qui s’offrait à moi. J’acquiesçais de la tête d’un oui devant mon père sans dire un mot. Il fallait voir sa tête pleine de satisfaction du fait qu’il avait réussi à me briser et me faire ...