CINE FOLIE 2
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Hardcore,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
... cette phrase me saute au yeux. Ils seraient capables de ne pas vouloir me laisser sortir si je ne les finis pas bien.
Je lèche les glands dégoulinants, n’en laissant pas une goutte, du sperme mêlé à de la salive me pends au menton. Je le ratt**** du dos de ma main, avant qu’il ne tombe sur ma jupe, mais c’est déjà trop tard, elle est souillée depuis longtemps. Je ruisselle de foutre de partout. Mes mains trempées, n’osent plus me toucher et pendent au bout de mes bras comme des marionnettes désarticulées.
Les deux monstres rentrent dans leurs tanières et un cliquetis se fait entendre. Je n’ose pas bouger. J’écoute, j’analyse le moindre bruit. Mais seuls les sons lointains du film et d’une chasse d’eau qui fuie parviennent à mes oreilles. Comme ci cela avait de l’importance, je m’applique à ne pas salir la poignée en tirant la porte du bout de mon auriculaire. Ouf ! Elle s’ouvre.
Je sors prudemment, jetant un oeil dans tous les recoins. Il n’y a plus personne. Du moins, je l’espère. Le miroir me renvois une image de moi vraiment pitoyable. Souillés mes cheveux, mon visage, mon cou, mon pull, souillée aussi ma jupe et mes bas. Je fais couler de l’eau tiède, et à l’aide d’un rouleau de papier hygiénique je commence à essayer de faire disparaître les traces de ma mésaventure. La semence dans les cheveux me pose un gros problème, mais patiemment, je parviens tout de même à la faire disparaître. Le nettoyage de mon visage est nettement plus facile, mais je me demande si ...
... il en serrât de même pour le reste de mes habits. Je m’apprête à frotter mon pull après avoir passée une main en dessous pour le tendre, quand la porte western claque derrière moi. Un homme d’une trentaine d’années et un quinquagénaire, viennent d’entrer. Surprise et apeurée, je retire rapidement ma main de dessous mon pull, me retourne et fonce, la tête baissée pour ne pas les regarder, vers la sortie en disant d’une petite voix tremblotante. « Laissez moi, s’il vous plait. »
Le gaillard de cinquante ans me bloque déjà l’accès. Je recule, et me retrouve collée au lavabo.
« S’il vous plait. Pardon...»
Ca ne leurs plait pas. Le jeune, désignant le rouleau de papier que j’ai jetée à terre me dit « continuez ! » mes grands yeux les suppliant. Quand une goutte coule sur mon visage, je pense les émouvoir, les attendrir.
« S’il vous plait, laisser moi passer. »
« CONTINUE ! » La voix forte et autoritaire du vieux bonhomme me fait sursauter. Epouvantée, je me retourne doucement vers le miroir. Tremblante, je mouille du papier et frotte mon pull. Le jeune s’approche de moi, et me dit
« Tu ne t’y prenais pas comme ça tout à l’heure, et c’était plus efficace. » Et il tire sur le bas de mon pull.
Je repasse ma main dessous et retends la laine. Ce petit con se penche et regarde sous mon vêtement.
« Hum ! mignon, ce qu'il y a la dessous ».
La tache est partie et je tente à mon tour de faire pareil. Impossible, le mastodonte n’a pas bougé et du doigt pointe ma ...