Week-end à la campagne - Histoires de Sexe

Week-end à la campagne

... une voix normale. Je n’ai pas fini de lui parler que je sens Pascal en train de passer du gel sur ma raie et mon anus. Ma mère repart à ses préparatifs, je regarde Pascal avec de grands yeux.

— Qu’est ce que tu fais ? On n’a pas le temps pour ça !
— Mais si, mais si, on a 20 minutes, ça ira pour se mettre en appétit.

Il est vrai que maintenant qu’il m’a bien chauffé, j’ai très envie de sentir sa queue mais quand même ça fait trop juste.

— On fera ça plus tard si tu veux, on n’a pas le temps là et en plus faut être discret.
— J’irai doucement mais j’ai très envie de te mettre un coup maintenant, tiens, prends le gel et finis de te préparer pendant que j’enfile une capote… avant de t’enfiler, me dit-il toujours avec un sourire narquois.

Je m’exécute. À quatre pattes sur le lit, je lubrifie bien mon trou, un doigt puis deux pour bien me dilater. Pascal est debout derrière moi, je me remets une dose de gel et lui passe le tube, il lubrifie bien sa queue et pose son gland sur ma rondelle. Il écarte mes fesses à deux mains et je sens son gland forcer l’entrée. Il entre en moi doucement pour ne pas ...

... me faire crier. J’ai la moitié de sa queue dans le derrière, le plaisir monte en moi, je mords quand même l’oreiller au cas où…

Ses mouvements s’accélèrent, il entre en moi jusqu’à la garde à présent, son ventre tape sur mes fesses un peu plus fort à chaque coup. Pascal se penche au-dessus de moi et met sa bouche à mon oreille et chuchote :

— J’adore t’enculer tu sais, t’as vraiment un très joli petit cul.

Ses mouvements ralentissent, Pascal savoure (et moi aussi), il entre doucement dans mon cul mais à fond à chaque fois (j’adore quand il fait ça), un dernier coup de reins sec et il jouit dans mes fesses (et dans la capote). Juste à temps, Pascal est encore en train de se retirer doucement quand la voix de ma mère résonne.

— Julien, à table ! … et Pascal… où il est passé ?

Je suis encore à quatre pattes, je me remets de mes émotions, Pascal claque deux fois mes fesses.

— Allez p’tit cul on va manger, faut prendre des forces pour la suite.

Il doit être environ midi et je me suis déjà fait sodomiser par Pascal mais ce n’était qu’une mise en appétit comme il l’a dit lui-même… ça promet !