Week-end à la campagne - Histoires de Sexe

Week-end à la campagne

... secrètement que ça se passerait comme ça mais je n’en étais vraiment pas sûr. Manifestement Pascal se pose moins de questions que moi et fait ça naturellement.

— Mais tu es déjà bien dur, mon salaud ! s’exclame Pascal.
— Chut, parle plus doucement, tout le monde est en bas…

Je lui montre le velux ouvert. Pascal constate puis se retourne vers moi avec un sourire plein de malice.

— Alors il ne faut pas faire de bruit, c’est ça. Moi je veux bien mais est-ce que tu vas pouvoir rester silencieux, toi ?

J’avais en effet oublié à quel point Pascal était capable de me faire crier de plaisir mais il va bien falloir que je résiste. Il caresse mon sexe à travers mon caleçon et le branle même. Rapidement je me retrouve avec mon caleçon sur les genoux et ma queue dans la main de Pascal.

— Mais tu es tout bien rasé, dis-moi ! Je vais pouvoir te lécher tout partout…

Il me branle comme ça quelques instants puis s’agenouille à côté du lit et se penche sur mon sexe prêt à exploser. Il maintient ma queue posée sur mon ventre et commence à lécher mes boules, puis les gobe une à une, c’est divin.

Il prend ensuite ma queue d’un seul coup dans sa bouche et me suce pour me réveiller « comme avant ». Il aspire ma queue encore et encore, mon caleçon finit au pied du lit et une main de Pascal passe sous mes fesses pour contrôler le va-et-vient de mon bassin.

Je respire de plus en plus fort et le supplie d’arrêter, pour que je reprenne un peu mes esprits. Il se relève pendant ...

... que je m’assois sur le bord du lit. J’ai très envie de le sucer à mon tour, de revoir sa queue si belle et source d’autant de plaisirs auparavant. Pascal déboutonne sa chemise et moi son pantalon. Je dégage son sexe de son caleçon, il est tout dur et toujours aussi beau, je lèche doucement son gland, je l’embrasse, le fais passer sur mes lèvres puis le lèche encore avant de le prendre en bouche.

J’aspire sa queue et essaye de l’avaler au maximum, Pascal caresse mes cheveux plusieurs fois puis passe sa main derrière ma tête pour la fixer et commence à donner le rythme en s’enfonçant de plus en plus.

— Là, comme ça, c’est bien, suce-moi bien à fond, chuchote-t-il.

C’est quand j’ai sa bite au fond de la gorge que j’entends ma mère qui m’appelle. Pascal se retire de ma bouche et je vais m’accouder au velux voir, voir ce qu’elle veut (j’ai toujours mon T-shirt alors vu d’en bas tout parait normal). Presque tout le monde est là et ma mère commence à apporter les plats.

— On va se mettre à table d’ici 20 minutes à peu près, ne tarde pas trop à descendre. Tu préviendras Pascal sur le chemin il doit être dans la salle de bain, il voulait se laver les mains tout à l’heure.

Je lui réponds par l’affirmative mais avec une voix un peu tremblante parce que Pascal a trouvé très drôle de se cacher sous le velux et de me sucer pendant que je parlais à ma mère comme si de rien n’était. J’échange encore quelques mots avec elle mais je ne l’écoute pas, trop occupé à essayer d’avoir ...