1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité


    Datte: 05/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... surtout elle est absolument indécente. Tu as vu ce décolleté, ce dos nu, la façon dont elle est fendue jusqu’au haut des jambes. Je serai plus indécente que si j’étais nue. Regarde Philippe, on voit presque mes seins. Et puis le tissu fait qu’elle est presque translucide, il ne faudra pas se forcer pour voir mes fesses, ma chatte. Non, ce n’est pas possible !
    
    • Olga, fais-moi plaisir. Si je pouvais, je t’exhiberai nue. Je veux que les autres femmes crèvent de jalousie, que les hommes soient fous de désir. Que tout le monde sache que ma femme est magnifique et que c’est moi qu’elle a choisi !
    
    • Tu es fou. A la mairie, on va m’accuser d’attentat à la pudeur !
    
    • Si tu y tiens tu porteras une étole légère à la mairie. Pour la réception et le diner, nous serons entre nous.
    
    • Entre nous, avec toutes les personnes que tu as invitées. Puisque tu insistes tellement, on y va, mais tu ouvres la boite de Pandore et le jour de notre mariage.
    
    • Ca ne me déplairait pas, bien au contraire !
    
    • Vicieux !
    
    • Je fais une concession. Tu porteras un mini-string, pour une fois. Mais pas de soutien-gorge.
    
    • Les mecs vont passer leur temps à mater mes seins !
    
    • C’est ce que je veux. Rien que d’y penser, ça me fait bander ! »
    
    Je reprends un second extrait de ce texte, qui décrit comment j’étais exhibée et offerte ce jour-là.
    
    « Le grand jour était arrivé. J’étais comme une princesse, après avoir passé la matinée aux bons soins de la coiffeuse et de l’institut de beauté. ...
    ... Aucun détail n’avait été laissé au hasard, depuis le vernis de mes ongles jusqu’au fard des yeux. Les chaussures, avec leurs talons à aiguille, mettaient encore plus en valeur mon joli cul. Je me regardais dans la glace pendant que deux femmes achevaient de m’aider à me préparer (je n’ose pas dire en l’occurrence m’habiller) et j’étais effarée. Bien plus qu’au magasin où Philippe m’avait forcée à acheter cette robe, je me rendais compte de son incroyable indécence. C’était une robe pour la Cicciolina, pas pour la jeune femme sage que je pensais être devenue. Philippe m’exhibait comme un trophée de chasse. Mes sentiments étaient partagés. J’avais honte et, en même temps, moi qui avais toujours eu une tendance à l’exhibitionnisme, j’étais fière de ma beauté qui rayonnait ce jour-là.
    
    • Tu es magnifique, ma chérie. Merci d’avoir accepté de porter cette robe.
    
    • Tu as tellement insisté. Je n’aurais pas dû accepter. C’est trop. Je vais faire scandale. Avec ce décolleté, on voit mes seins. Et avec la lumière, le soleil qu’on a aujourd’hui, je suis aussi indécente que si j’étais nue. »
    
    Et on sait comment cela s’est terminé. Le soir même de mes noces, je fus adultère, avec Pierre, ami et témoin de Philippe. C’est ce qu’avait voulu celui-ci. Je rappelle seulement que ce n’est pas cette tenue qui fût déterminante, mais ma colère face au comportement de Philippe : seules ses provocations avec Christine m’amenèrent à faire, au bout de la nuit, ce que je refusais, tout en privant ...
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