1. Haoua, vendeuse de galettes. Deuxième partie : Com


    Datte: 26/04/2018, Catégories: Humour Première fois Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... comme si tu étais sa fille. Je lui ai raconté ton histoire et elle en a été bouleversée. Après-demain, elle revient de Kabylie et je pourrais t’amener chez elle.
    
    - Et pour nous ?
    
    - Il n’y aura rien de changé ! Nous nous verrons un peu moins souvent pendant une période ! Mais tu verras, je trouverais la solution pour que l’on continue à nous aimer comme hier et comme aujourd’hui !
    
    - Elle sait pour nous ?
    
    - Je ne lui ai bien sûr rien dit, mais c’est une fine mouche ! Et me connaissant parfaitement, elle se doute certainement de quelque chose ! Elle n’a jamais fait de problèmes pour cela. La seule chose qu’elle me reproche, c’est de ne m’être pas marié et de ne pas lui avoir donné de petits enfants.
    
    Le lendemain, nous continuâmes à nous aimer sans retenue. Ce ne fut que le surlendemain soir que je l’amenai à El Harrach, chez maman, qui l’accueillit très gentiment et qui l’embrassa tendrement, comme si c’était déjà un membre de sa famille. Je les quittais tranquillisé quant à l’avenir de Haoua, que je savais maintenant entre de bonnes mains.
    
    Haoua s’habitua très vite à vivre avec maman. Il faut dire que maman a toujours été quelqu’un de très facile à vivre. Elle n’est pas exigeante envers les personnes qui lui sont proches. A nous, ses enfants – moi-même et deux filles mariées et mères de familles – elle nous avait toujours laissé vivre notre vie à la manière dont nous l’entendions. La seule chose qu’elle avait toujours exigée de nous, c’était d’assumer tous ...
    ... nos actes, bons ou mauvais. Avec Haoua, qu’elle avait aimée dès le premier jour, elle avait été encore plus cool.
    
    Non seulement, elle l’avait accueillie et prise en charge financièrement, mais en plus, elle lui permettait de sortir avec moi au moins une fois par semaine – officiellement, pour l’emmener en promenade et lui faire découvrir certains endroits d’Alger – réellement pour l’emmener chez moi pour faire l’amour. Elle n’était absolument pas dupe, mais laissait faire. Elle avait compris que je m’étais attaché à sa protégée et que je ne pouvais pratiquement plus me passer d’elle. Elle en était heureuse et la laissait sortir avec moi, sachant pertinemment ce que nous allions faire. Elle avait emmenée Haoua chez une gynécologue qui lui avait prescrit des pilules anticonceptionnelles. Maman savait qu’elle était amoureuse de moi, et qu’elle ne pouvait rien me refuser en matière de sexe. Mais elle ne voulait pas qu’elle tombe enceinte; pas pour le moment du moins.
    
    D’un autre côté, elle avait toujours voulu que je me case et me marie. C’était pour elle l’occasion pour me pousser dans mes derniers retranchements. Elle avait découvert en Haoua, une belle-fille idéale: gentille, et surtout capable de s’effacer si jamais je ne voulais plus d’elle. Elle n’était pas envahissante, comme certaines de mes maîtresses que je lui avais présentées et ne cherchait même pas à ce que je l’épouse. Le seul fait d’être avec moi lui suffisait pour qu’elle sente qu’elle est « ma femme ». Maman ...
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