Haoua, vendeuse de galettes. Deuxième partie : Com
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
Humour
Première fois
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... avait fini par avoir une confiance aveugle en elle. Surtout qu’elle lui racontait tout ce qu’elle faisait avec moi. Sans les détails, bien entendu !
Elle avait décidé que Haoua devait devenir, dans un délai raisonnable, économiquement indépendante. C’était disait-elle, la seule chose qui lui donnerait confiance en elle et qui la libèrerait de tous liens de soumission envers moi et envers elle. Elle l’inscrivit en qualité d’apprentie coiffeuse/esthéticienne chez une de ses amies, qui tenait un grand salon de coiffure au centre d’Alger. En moins de deux ans, Haoua, qui avait des doigts de fée, devint une véritable spécialiste, surtout en esthétique du visage et des mains.
Elle avait été vite recrutée par l’amie de maman, qui lui versait maintenant un petit salaire, qui lui permettait de se sentir plus à l’aise et moins dépendante de maman. Elle lui proposa de lui reverser toute sa paie pour participer aux frais de la maison. Ce que bien entendu, maman refusa, tout en lui ouvrant un carnet d’épargne, pour qu’elle mette son argent à l’abri ; « pour les mauvais jours », disait-elle. Haoua s’était faite une excellente réputation auprès de la clientèle du salon et commençait même à percevoir des pourboires conséquents.
Toutes les week-ends, nous nous retrouvions et je l’emmenais chez moi, pour faire l’amour. Je découvris une autre Haoua, plus sûre d’elle et plus curieuse des choses de l’amour. Je ne sais si c’étaient les filles du salon qui lui parlaient des différentes ...
... positions et des différentes manières de faire l’amour. Je découvris que pour elle, faire l’amour, c’est tout d’abord s’offrir à son homme pour lui donner un maximum de plaisir. Son plaisir à elle était secondaire, bien qu’elle avouait en prendre énormément. Je mis beaucoup de temps pour lui faire comprendre que la relation sexuelle entre deux amants était avant tout un échange, dont le but ultime devait être le bonheur des deux ; pas seulement de l’homme.
- Mais moi ce que je veux, c’est que tu sois heureux toi d’abord ! Que tu prennes autant de plaisir avec moi, qu’avec tes autres maîtresses, particulièrement Attika, qui te donne tout ce que tu désires ! J’aime que tu jouisses avec moi et que tu sois heureux ! Comme cela je suis sûre que tu me garderas ! Je t’aime comme une folle et je veux passer ma vie près de toi !
Même en cours de semaine, il nous arrivait de nous rencontrer, tôt le matin. Elle arrivait en retard au travail (avec la complicité de sa patronne, donc aussi, avec celle de maman !) et passait régulièrement une heure ou deux dans mes bras. Le plus souvent elle venait avec une idée de ce qu’elle voulait que je lui fasse. C’est comme cela par exemple qu’un matin elle était venue, décidée à me faire une fellation.
- Une fille du salon m’a affirmé que tous les hommes aiment se faire sucer la bite par leur femme ou leur maîtresse. Toi tu ne m’as jamais demandé cela ! Pourquoi ? Tu n’aimes pas ?
- J’adore ! Nous n’avons pas eu l’occasion jusque là, c’est ...